L’association des anciens stagiaires djiboutiens de l’agence japonaise de la coopération internationale, plus connue sous son acronyme anglais de JICA, a organisé un atelier sur la refondation du capital humain, mercredi 06 février dernier au Sheraton. Bien entendu, l’initiative jouissait du soutien de la JICA. Elle a regroupé sur place le representant-résident de la JICA à Djibouti, Toru Togawa, un bon nombre d’adhérents de l’association JICA-Djibouti, dont leur président Tabarek Mohamed Ismaël, et de leaders du tissu associatif de la commune de Balbala.

Les uns et les autres ont débattu de l’implication de la société civile dans la promotion du développement socioéconomique des différentes composantes de la population djiboutienne. Aussi, ils ont eu des échanges interactifs autour des facteurs susceptibles de favoriser la participation des femmes et des jeunes au processus national en cours de refondation du capital humain.

A ce propos, les intervenants ont jeté des regards rétrospectifs sur l’impact des contributions de la JICA dans ce sens. Telles les dotations budgétaires sous forme de dons de l’ambassade du Japon à Djibouti qui servent au financement des projets de développement local ou communautaire.  En outre, les participants de l’atelier ont soulevé les autres apports financiers de la coopération japonaise, destinés au développement des infrastructures et au renforcement de capacités d’institutions djiboutiennes  dans les domaines de l’agriculture, l’eau, l’éducation, la géothermie, la protection civile, la santé, la sécurité maritime, et des transports.