
La ministre de la femme et de la famille, Mouna Osman Aden et l’ambassadeur de l’Inde à Djibouti, Ashok Kumar ont conjointement procédé le jeudi 29 juillet dernier à l’inauguration de la salle dédiée à l’apprentissage de la cuisine du CASAF.

Dans le cadre du renforcement des capacités didactiques du centre d’action sociale pour l’autonomisation de la femme (CASAF), inscrit dans le volet de coopération entre le ministère de la femme et de la famille (MFF), et la chancellerie de l’Inde à Djibouti, l’ambassadeur Ashok Kumar et la ministre Mouna Osman Aden se sont rends dans la matinée du jeudi 29 juillet dernier, à Balbala pour inaugurer la salle d’apprentissage des métiers de la cuisine du CASAF, récemment réhabilitée par la république de l’Inde.
A leur arrivée sur les lieux, les deux personnalités ont été accueillies par la directrice de ce centre, Nima Yonis Hoch entourée de ses proches collaboratrices. Après un message de bienvenue et remerciement de part et d’autre, la ministre djiboutienne de la femme et de la famille, Mouna Osman Aden et le diplomate Kumar, ont procédé à couper le ruban placé à l’entrée de cette salle de classe qui a certainement permis à plusieurs promotions de jeunes filles djiboutiennes de se spécialisées dans le domaine de la cuisine.
En effet, opérationnel depuis 2007, le CASAF est une école de seconde chance, qui a pour vocation d’offrir des formations professionnelles telles que la cuisine, la couture, la coiffure, la photographie, les fonctionnalités de la caméra vidéo, l’arrangement des sons, les jeux de lumières, et les techniques de la conception rédactionnelle, aux jeunes djiboutiennes issues des milieux les plus défavorisés de la capitale.
La directrice du CASAF, Nima Yonis Hoch n’a pas caché sa joie quant à cette action qui permet à son centre d’offrir, aux étudiantes de la promotion de l’année scolaire 2021-2022, une salle d’apprentissage de la cuisine flambant neuve et a profité de l’occasion pour remercier sa ministre de tutelle et le chef de la chancellerie indienne de notre pays.
Rachid Bayleh