Des experts internationaux, en collaboration avec les professionnels de santé du laboratoire de l’Hôpital Général Peltier, ont conduit une étude essentielle sur la résistance aux traitements antipaludiques à Djibouti. Le paludisme, qui continue de causer des millions de décès dans le monde, reste une menace de taille, d’autant plus en l’absence de vaccins efficaces. Bien que les thérapies à base d’artémisinine soient actuellement parmi les plus efficaces, l’apparition de résistances, notamment en Asie du Sud-Est, est une source de préoccupation. L’acquisition récente d’un séquenceur d’ADN à Djibouti a permis d’analyser avec précision les mutations des parasites du paludisme, offrant ainsi une meilleure surveillance de la résistance aux médicaments. Pour découvrir les résultats détaillés de cette étude, nous vous invitons à lire l’article complet. Cette avancée technologique est un atout considérable pour Djibouti, permettant un suivi rigoureux et des réponses adaptées face aux défis du paludisme. L’étude met également en lumière l’importance de la formation des techniciens djiboutiens et du renforcement des capacités locales pour relever les enjeux de santé publique.