L’ébriété mène à tout ou presque…
En début de semaine, les policiers du commissariat arrêtent un homme âgé de 35 ans. Le mis en cause est un chauffeur de taxi. En état d’ébriété très avancé, il a été surpris par les patrouilles mobiles du Héron en train d’escalader les murs d’une résidence. Les policiers alertent aussitôt le gardien de la maison, qui arrête le jeune homme. Lors de son audition, il déclarera aux policiers qu’il voulait « juste piquer une tête dans la piscine » de la résidence. Il n’en faudra pas autant pour qu’il se retrouve derrière les barreaux de la prison civile de Gabode en mandat de dépôt pour violation de domicile
Agression gratuite au Quartier 1
Il y a quelques jours, deux amis se promènent tranquillement au Quartier 1. L’un d’eux entre dans une boutique pour acheter quelque chose. Pendant ce court laps de temps, son ami se fait agresser par trois jeunes hommes. Connus des services de police du 1er arrondissement, les suspects avaient déjà commis des petits délits. A sa sortie de la boutique, le deuxième jeune vient porter assistance à son ami. Mais les trois suspects prennent la fuite. Quelques jours après, l’un des trois agresseurs est arrêté. Lors de son audition, il donne sans hésitation les adresses de ses complices. Les trois prévenus se trouvent actuellement sous mandat de dépôt à la prison civile de Gabode.
Vol sans empreintes à la cité Progrès
Pour fêter l’arrivée de la nouvelle année, un jeune homme se rend chez un ami qui habite à la cité Progrès. Apres quelques heures passées ensemble, il décide de récupérer son sac qui se trouvait à l’arrière de son véhicule. Une fois sorti de la maison de son ami, il constate que la vitre arrière de sa voiture est cassée et que la portière est également endommagée. Il se rend au poste de police du 3ème arrondissement pour déclarer le vol d’une somme de 440 000 FDJ et de deux chéquiers qui se trouvaient dans son sac. Les équipes de la police technique et scientifique sont appelées sur les lieux du vol pour procéder à des prélèvements d’empreintes. Ils prennent également des clichés photographiques du véhicule. Deux jours plus tard, lors d’une patrouille, les policiers du 3ème arrondissement sont interpellés par un jeune homme en casquette et portant des chaussures de sport. Il décide alors de pratiquer une palpation de sécurité. Il découvre sur lui un tournevis, des gants, une lampe torche, un briquet et des sacs plastiques contenant des branches de khat. En effet, lors du casse de la voiture, les équipes de la police scientifique n’avait relevé aucune empreinte et étaient donc arrivés à la conclusion que le voleur devait surement porter des gants. Les policiers décident donc de l’interroger au poste de police du 3ème arrondissement. Par ailleurs, la voiture avait été cassée par un objet contondant tel qu’un tournevis. Le suspect a été arrêté et se trouve actuellement en mandat de dépôt à la prison civile de Gabode.
N. Kadassiya