L’Institut français de Djibouti, en collaboration avec l’Ambassade du Japon, a organisé mercredi dernier dans ses locaux un concert exceptionnel qui s’inscrit dans le cadre de la semaine dédiée à la culture japonaise, du 18 au 23 novembre.

La cérémonie a été honorée par la présence de l’Ambassadeur du Japon à Djibouti, M. Keiichi Hara, des diplomates, de la chargée d’affaires de l’Ambassade de France à Djibouti, Mme Ruth Rakuzin, de M. Victor Bernard, directeur délégué de l’IFD, de M. Eric Chevreul, directeur de l’Institut français de Djibouti, de Mme Lucile Waroux, chargée de communication de l’IFD, ainsi que des représentants des organisations internationales, des jeunes étudiants et des amateurs de manga et de la culture japonaise. Tous ont pris part à cet événement.

Durant une semaine, les participants ont eu l’opportunité de découvrir un vaste éventail de plats japonais authentiques, des produits artisanaux uniques, et de participer à des expériences enrichissantes qui mettent en lumière la richesse culturelle du Japon.

Des ateliers interactifs ont également été proposés, incluant des sessions de dessins manga, d’origami, des projections de films et de calligraphie japonaise, permettant aux participants de s’immerger dans ces formes d’art traditionnelles. Les visiteurs ont aussi pu savourer des plats typiques lors de dégustations de cuisine japonaise et du fameux thé japonais, illustrant ainsi la richesse culinaire du Japon.

À l’issue de cette soirée culturelle, l’Ambassadeur du Japon, Keiichi Hara, a remercié le Ministère de la Jeunesse et de la Culture pour son engagement envers la promotion de la culture. Il a également exprimé ses remerciements à l’Institut français de Djibouti pour sa précieuse collaboration avec l’Ambassade du Japon et pour la réalisation de cet événement haut en couleurs. Le diplomate a rappelé au public de profiter de la soirée en écoutant deux artistes, chacun porteur de ses propres mélodies, qui ont la belle mission de créer une harmonie entre la profondeur de l’histoire du Japon et la diversité de la culture djiboutienne à travers la « shakuhachi », une flûte traditionnelle japonaise, et le oud, un instrument traditionnel djiboutien.

« La culture rapproche les nations et leur permet de mieux se comprendre. Nous profiterons ce soir de la symbiose de deux artistes, chacun porteur de ses propres mélodies, qui ont la belle mission de créer une harmonie entre la profondeur de l’histoire du Japon et la diversité de la culture djiboutienne à travers la ‘shakuhachi’, une flûte traditionnelle japonaise, et le oud, un instrument traditionnel djiboutien.»  De son côté, Victor Bernard, directeur délégué de l’IFD, a profité de l’occasion pour remercier l’ensemble des visiteurs qui se sont déplacés pour découvrir la semaine culturelle du Japon à l’Institut français de Djibouti.

Après les séries de discours officiels, les participants ont assisté à un concert joué par deux artistes, Anwar Saïd Al Ghana, artiste djiboutien spécialiste du oud, et Yosuke Irie, artiste japonais de shakuhachi (flûte traditionnelle).

Les deux artistes ont interprété des morceaux de leur instrument, faisant voyager le public à travers la profondeur des mélodies.

La Semaine de la culture du japon a permis de renforcer les échanges culturels et d’encourager la compréhension mutuelle entre les peuples. Elle a été l’occasion parfaite pour s’immerger dans l’esprit du Japon, savourer sa cuisine, explorer ses traditions et célébrer sa contribution inestimable au patrimoine culturel global.

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