La force en attente de l’Afrique de l’est à reçu le 24 janvier dernier à Nairobi le prestigieux prix pour la paix en Afrique délivré par l’United religions initiative (URI) – Africa.
L’URI a remis ce prix de la paix en Afrique en reconnaissance du travail remarquable de l’EASF en termes d’activités de soutien de la paix depuis sa création en tant que mécanisme régional il y a plus de 15 ans. Le prix de la paix est un symbole qui complète l’engagement remarquable et les grands efforts de l’EASF pour renforcer la paix, la sécurité et la stabilité dans sa région et au-delà.
Le directeur de l’EASF, Dr Abdillahi Omar Bouh, a souligné l’importance de l’URI – Afrique pour combler les différences religieuses et culturelles comme moyen d’éradiquer la violence. La région de l’Afrique de l’Est est relativement instable et continue de connaître une forme de conflit violent en Afrique. Ces conflits ont entraîné des pertes de vies et de biens, violant ainsi les droits humains fondamentaux.
Lors de la remise du prix de la paix en Afrique, le directeur régional de l’URI pour l’Afrique et représentant de l’URI à l’UA et au Bureau des Nations Unies pour l’Afrique et envoyé mondial de l’URI, l’ambassadeur Mussie Hailu, a noté que URI-Afrique est très conscient que l’EASF a été à l’avant-garde de la promotion de la paix et de la sécurité dans la région de l’Afrique de l’Est.
«URI Africa présente aujourd’hui le prix de la paix en Afrique à l’EASF en reconnaissance de l’excellent travail de l’organisation pour construire une région pacifique et stable. Le prix récompense également l’effort de l’EASF en tant que l’une des cinq forces multidimensionnelles régionales composées de composantes militaires, policières et civiles pour fournir une capacité de déploiement rapide des forces pour effectuer un déploiement préventif », a-t-il dit.
Depuis 2007, le prix de la paix en Afrique de l’URI a reconnu des leaders et des organisations exceptionnels dans les domaines de la paix durable, du développement, de la protection de l’environnement, de la démocratie, de la réconciliation, de l’harmonie interreligieuse et interculturelle et de la coexistence pacifique.