Dans une importante allocution faite jeudi soir à la tribune d’un sommet Chine-Afrique organisé à Johannesburg, à l’issue de la réunion des BRICS, le Président de la République, Ismaïl Omar Guelleh, et Président en exercice de l’Autorité Intergouvernementale pour le Développement (IGAD), s’est prononcé en faveur d’une intensification des relations d’échanges et de coopération entre la Chine et les Pays d’Afrique.

Dans cette intervention faite lors de cette réunion à huis-clos des Chefs d’Etat et de Gouvernement de Chine et d’Afrique, le Président djiboutien s’est tout d’abord réjoui de « l’état de collaboration et d’entraide caractérisant les deux parties » et, allié ces rapports privilégiés à des « relations séculaires, tissées par le fil de l’Histoire entre l’Afrique et la Chine. »

« Pendant des siècles, la Chine et l’Afrique ont partagé un lien fondé sur l’amitié, la solidarité et le respect mutuel » a, en ce sens, déclaré le Président Ismaïl Omar Guelleh…

« Cette relation, marquée par les échanges culturels, les liens commerciaux et la collaboration diplomatique, est restée une pierre angulaire des relations historiques de nos nations », a, à juste titre, estimé ensuite le Chef de l’Etat pour qui « une coopération encore plus réussie entre les deux ordres doit désormais passée par un niveau d’échange plus soutenu dans les domaines de l’industrialisation, de la modernisation et de l’intégration régionale ». Dans sa plaidoirie relative à une réorientation stratégique des partenariats Chine-Afrique, le Président Guelleh, Président en exercice de l’IGAD, a mis en lumière combien « une coopération plus axée sur la notion de transfert de compétences et de technologies disposerait notre région et la Chine à de perspectives de collaboration encore plus fructueuses. »

Et pour cause, « l’emplacement géostratégique des Pays de l’IGAD et le niveau élevé de leur démographie, évalué aujourd’hui à quelques 300 millions d’Habitants, sont de nature à servir de créneau propice à la réalisation d’une véritable croissance dans cette partie du monde », est d’avis le Président Guelleh.

« En combinant nos ressources, nos connaissances et notre expertise, nous pouvons saisir les opportunités au sein de nos économies respectives, tout en favorisant la croissance économique, le développement durable et l’intégration régionale”, a en substance plaidé le Chef de l’Etat djiboutien, appelant de ses vœux « l’instauration rapide de partenariats entre la Chine et notre région, fondés sur l’innovation, la formation professionnelle, l’industrialisation et la croissance du secteur des services. »

« L’initiation d’une coopération sino-africaine plus portée sur le transfert de compétences est d’autant plus louable » que, aux yeux du Président Guelleh, elle disposerait le Continent et les Pays de l’IGAD à « une transformation radicale dans leur capacité à nouer avec des sources pérennes de croissance et de mécanismes irréversibles de développement durable».

« En donnant à nos jeunes l’éducation et la formation, nous leur permettons de devenir des participants actifs dans la formation du destin de nos nations, au-delà du progrès économique », a, dans le même registre, souligné le Président Ismail Omar Guelleh, ajoutant la notion de « collaboration autour du phénomène de réchauffement climatique dans la liste des secteurs prioritaires » à redéfinir pour la coopération sino-africaine.

« Notre région est fortement touchée par les effets dévastateurs du changement climatique », a déploré le Président Guelleh, convaincu qu’« en nous associant à un allié tel que la Chine, en consacrant des ressources pour combattre et atténuer les effets du changement climatique et en adoptant des méthodes agricoles innovantes, nous pouvons non seulement assurer la sécurité alimentaire de notre région, mais aussi contribuer à nourrir l’ensemble du continent, à l’abri des perturbations extérieures ».

Dans cette intervention faite lors de cette réunion à huis-clos des Chefs d’Etat et de Gouvernement de Chine et d’Afrique, le Président djiboutien s’est tout d’abord réjoui de « l’état de collaboration et d’entraide caractérisant les deux parties » et, allié ces rapports privilégiés à des « relations séculaires, tissées par le fil de l’Histoire entre l’Afrique et la Chine. »

« Pendant des siècles, la Chine et l’Afrique ont partagé un lien fondé sur l’amitié, la solidarité et le respect mutuel » a, en ce sens, déclaré le Président Ismaïl Omar Guelleh…

« Cette relation, marquée par les échanges culturels, les liens commerciaux et la collaboration diplomatique, est restée une pierre angulaire des relations historiques de nos nations », a, à juste titre, estimé ensuite le Chef de l’Etat pour qui « une coopération encore plus réussie entre les deux ordres doit désormais passée par un niveau d’échange plus soutenu dans les domaines de l’industrialisation, de la modernisation et de l’intégration régionale ». Dans sa plaidoirie relative à une réorientation stratégique des partenariats Chine-Afrique, le Président Guelleh, Président en exercice de l’IGAD, a mis en lumière combien « une coopération plus axée sur la notion de transfert de compétences et de technologies disposerait notre région et la Chine à de perspectives de collaboration encore plus fructueuses. »

Et pour cause, « l’emplacement géostratégique des Pays de l’IGAD et le niveau élevé de leur démographie, évalué aujourd’hui à quelques 300 millions d’Habitants, sont de nature à servir de créneau propice à la réalisation d’une véritable croissance dans cette partie du monde », est d’avis le Président Guelleh.

« En combinant nos ressources, nos connaissances et notre expertise, nous pouvons saisir les opportunités au sein de nos économies respectives, tout en favorisant la croissance économique, le développement durable et l’intégration régionale”, a en substance plaidé le Chef de l’Etat djiboutien, appelant de ses vœux « l’instauration rapide de partenariats entre la Chine et notre région, fondés sur l’innovation, la formation professionnelle, l’industrialisation et la croissance du secteur des services. »

« L’initiation d’une coopération sino-africaine plus portée sur le transfert de compétences est d’autant plus louable » que, aux yeux du Président Guelleh, elle disposerait le Continent et les Pays de l’IGAD à « une transformation radicale dans leur capacité à nouer avec des sources pérennes de croissance et de mécanismes irréversibles de développement durable».

« En donnant à nos jeunes l’éducation et la formation, nous leur permettons de devenir des participants actifs dans la formation du destin de nos nations, au-delà du progrès économique », a, dans le même registre, souligné le Président Ismail Omar Guelleh, ajoutant la notion de « collaboration autour du phénomène de réchauffement climatique dans la liste des secteurs prioritaires » à redéfinir pour la coopération sino-africaine.

« Notre région est fortement touchée par les effets dévastateurs du changement climatique », a déploré le Président Guelleh, convaincu qu’« en nous associant à un allié tel que la Chine, en consacrant des ressources pour combattre et atténuer les effets du changement climatique et en adoptant des méthodes agricoles innovantes, nous pouvons non seulement assurer la sécurité alimentaire de notre région, mais aussi contribuer à nourrir l’ensemble du continent, à l’abri des perturbations extérieures ».