Sous le haut patronage du ministre de l’agriculture, de l’eau, de la pêche, de l’élevage et des ressources halieutiques, la cellule d’exécution du projet (CEP), en collaboration avec GOPA, a organisé hier au Sheraton hôtel un atelier de clôture du projet « fonds régional pour le renforcement de la résilience à la sécheresse » (FRRRS). Ce projet, financé par l’Allemagne à hauteur de 4millions d’euros, soit environ 800 millions FDJ, est conçu pour répondre aux défis de résilience à la sècheresse et l’appui aux zones transfrontalières vulnérables à travers des actions sur le terrain, un accompagnement technique, de la sensibilisation et un volet d’approche financière participative créant une base qui sera utile pour de futures interventions.

Il a été mis en œuvre par le ministère de l’agriculture, de l’eau, de la pèche, de l’élevage et des ressources halieutiques à travers la cellule d’exécution du projet et avec l’appui technique du cabinet international GOPA. L’objectif principal est d’améliorer la résilience à la sécheresse de la population pastorale et agro-pastorale de Dikhil, en améliorant l’accès à l’eau pour le bétail et la consommation humaine, ainsi que l’amélioration de la productivité agropastorale et les groupes cibles concernés parle programme sont les communautés pastorales et agro-pastorales dans les corridors transfrontaliers du sud-ouest de Djibouti vivant dans la région de Dikhil, précisément dans les localités de Sankal, As-Eyla, Yoboki, Daoudaya, Bondara et Agna…

Sous le haut patronage du ministre de l’agriculture, de l’eau, de la pêche, de l’élevage et des ressources halieutiques, la cellule d’exécution du projet (CEP), en collaboration avec GOPA, a organisé hier au Sheraton hôtel un atelier de clôture du projet «fonds régional pour le renforcement de la résilience à la sécheresse» (FRRRS).

L’évènement a regroupé sur place le secrétaire général du ministère de l’agriculture, de l’eau, de la pêche, de l’élevage et des ressources halieutiques, Ibrahim Elmi Mohamed, le représentant de l’IGAD, M. Rachid Elmi Hersi, le chef de mission du cabinet international allemand pour l’appui technique du projet, M. Leone Comin, les représentants des partenaires au développement, les représentants de la préfecture et du conseil régional de Dikhil, les représentants des associations civiles de Dikhil et un parterre d’invités.

Le projet FRRRS, financé par le peuple allemand à travers la banque KFW à hauteur de 4millions d’euros, soit environ 800 millions FDJ, est conçu pour répondre aux défis de résilience à la sècheresse et l’appui aux zones transfrontalières vulnérables à travers des actions sur le terrain, un accompagnementtechnique, de la sensibilisation et un volet d’approche financière participative créant une base qui sera utile pour de futures interventions.Il a été mis en œuvre par le ministère de l’agriculture, de l’eau, de la pèche, de l’élevage et des ressources halieutiques à travers la cellule d’exécution du projet et avec l’appui technique du cabinet international GOPA.

L’objectif principal est d’améliorer la résilience à la sécheresse de la population pastorale et agro-pastorale deDikhil, en améliorant l’accès à l’eau pour le bétail et la consommation humaine, ainsi que l’amélioration de la productivité agropastorale et les groupes cibles concernés parle programme sont les communautés pastorales et agro-pastorales dans les corridors transfrontaliers du sud-ouest de Djibouti vivant dans la région de Dikhil,précisément dans les localités de Sankal, As-Eyla, Yoboki, Daoudaya, Bondara et Agna. Le projet est le fruit d’un partenariatrégionalrenforcé pour éradiquer les situations d’urgence de la sécheresse dans les zones transfrontalières, notamment dans la région de Dikhil, en république de Djibouti. C’est un exempleremarquable de l’impact positif que la coopérationinternationale peut avoir sur la résolution des défisenvironnementaux.

Le représentant de l’IGAD, M.  Rachid Elmi Hersi, a pris la parole en indiquant que «depuis le sommet tenu à Nairobi en septembre 2011, qui a conduit au lancement de l’initiative de l’IGAD sur la résilience à la sécheresse et sa durabilité afin de mettre fin aux crises de sécheresse dans la région, beaucoup d’efforts ont été menés dans notre région ». Puis, il a précisé que « l’IDDRSI est une stratégie de 15 ans avec 3 phases de 5 ans chacune, visant à traiter les causes profondes de la vulnérabilité dans les zones rurales sujettes à la sécheresse. La première phase de 5 ans s’est écoulée et la première génération de projets de résilience sont en cours de réalisation avec un impact positif sur les communautés rurales vulnérables ».

De son côté, le chef de mission du cabinet international allemand pour l’appui technique du projet, M. Leone Comin, a indiqué que « la coopération allemande donne toujours beaucoup d’importance à la durabilité des actions de développements et pour cela elle souhaite qu’une fois que les projets sont terminés que  les autorités locales continuent à accompagner les réalisations mises en place et pour la même raison la coopération allemande met toujours l’accent sur la responsabilisation et l’implication des bénéficiaires dans les initiatives de développement ».

Pour clôturer cette série d’interventions, le secrétaire général du ministère de l’agriculture, de l’eau, de la pêche, de l’élevage et des ressources halieutiques, Ibrahim Elmi Mohamed, a indiqué que «  les infrastructures hydrauliques qui ont été construites couvrent les six localités et permettent un meilleur accès aux ressources en eaux.

Nous avons dépassé nos objectifs en ce qui concerne les travaux de développement et d’entretien d’ouvrages hydrauliques et les travaux à hautes intensités de main d’œuvre. Ce sont notamment 15 000 emplois temporaires en 9mois detravaux qui ont été créées pour la réalisation de 42 ouvrages de mobilisation des eaux, équipés en pompes solaires et thermiques, à des fins de consommation humaine, animale et de production agricole ».

« L’exploitation des ouvrages et équipement hydrauliques installés dans les localités, a-t-il ajouté,ont permis d’améliorer considérablement l’accès à l’eau : près de 98% des ménages, contre 83% avant le projet, ont accès à l’eau en quantité et qualité suffisantes pour les personnes et les animaux du bétail dans la zone du projet dans un rayon d’au moins 1 km ».

Notons au passage que le projet a eu recours à l’approche financière participative qui est une approche qui vise à mobiliser les populations locales et à les impliquer activement dans leur propre développement, en utilisant des ressources financières directes. Elle est conçue pour générer des dynamiques de développement autonomes, constructives, inclusives et très participatives aux niveaux familiale, communautaire et régional.

Au total, 206 agro-éleveurs ont bénéficié de 2600 têtes de chèvres locales repartis dans les 5 localités appuyés par le projet. La proportion des femmes bénéficiaires est de 43% contre 56% pour les hommes. Le projet a égalementrenforcé 170 agro-éleveurs sur la thématique de la production et la transformation des produits agricoles et de l’élevage ainsi que des kits d’outils et intrants à 170 ménages pratiquant l’agriculture.

Mohamed Chakib