Dans le cadre du projet d’autonomisation des femmes et des filles (FEMFI) financé par l’Union européenne avec l’appui du PNUD, le Centre d’Action Sociale et d’Autonomisation des Femmes de Balbala (CASAF)  a organisé lundi dernier  un atelier de validation de l’étude de restitution programme du centre et l’évaluation des besoins en formation professionnelleà l’endroit  des femmes et des jeunes filles.

À l’heure où en Afrique, l’entrepreneuriat féminin connait un essor considérable, on assiste à l’apparition d’institution publique ou privée œuvrant à l’autonomisation économique des femmes et de surcroit à la promotion de l’entrepreneurial féminin.

Plus précisément, ces institutions se sont données pour mission à développer les opportunités économiques des femmes, à les accompagner lors du montage de leurs affaires, à leur faciliter l’accès aux ressources et à surmonter les difficultés auxquelles sont confrontées les femmes dans l’économie et la société.

 En ce sens, le CASAF avec l’appui des plusieurs partenaires dont le PNUD a tenu, un atelier concernant sur une étude axé sur l’évaluation des besoins en formation professionnelle au profit des femmes et des jeunes filles Djiboutiennes.

Cette étude faite par un consultant national propose de rénover, le programme d’apprentissage existant du centre en planifiant des nouvelles gammes de formations dans les domaines de l’hôtellerie et du numérique.

Sous la tutelle du Ministère de la Femme et de la Famille, ce centre a offert auparavant à des milliers des femmes et des jeunes filles à des formations professionnelles et techniques qualifiantes et certifiantes aux métiers de l’informatique, l’audiovisuel, de la couture et broderie, de la cuisine et pâtisserie et la coiffure. Cet atelier présidé par le Secrétaire Générale du Ministère de la Femme et de la Famille, Mme Anissa Hassan Bahdon a vu la participation du représentant adjoint du PNUD, M. Gaël Ollivier, de la Directrice du centre Mme Neima Yonis Hoch, du conseiller technique du MFF, M, Mohamed Ismaël Abdillahi ainsi que différentes parties prenantes ont pris part.

Cette étude a été réalisée par un consultant national, qui a exposé entre autres aux différents parties prenantes, des propositions innovantes pour dynamiser le centre afin qu’il répond en terme d’apprentissage des femmes et des jeunes filles.

 La rencontre s’est terminée par des échanges réflexions et débats sur le contenu du projet de restitution concernant le renforcement du programme du centre.

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