L’agence djiboutienne de développement social (ADDS) en partenariat avec la commune de Boulaos a organisé une cérémonie de remise de permis de conduire à 99 jeunes et de distribution de 50 tablettes aux élèves issus des familles défavorisées. L’événement s’est déroulé dimanche dernier au centre de développement communautaire de ce quartier populaire de la capitale. Il s’agissait pour ses instigateurs d’améliorer l’employabilité des jeunes de Quartier 7 et de les aider à s’insérer dans la vie professionnelle.

Et ce dans le but qui est de réduire le taux de chômage et de lutter contre l’exclusion et la pauvreté urbaine. A la lumière des informations disponibles sur ses interventions, l’ADDS a financé à ce jour 50 projets avec un coût total s’élevant à 24 433 899 FDJ dans le cadre du Fonds de développement communautaire. Ces microprojets ont touché 3781 bénéficiaires.

Le détail vient traduire l’engagement de l’Etat à investir dans l’homme et à donner de l’emploi aux jeunes. Une double ambition dont la concrétisation suppose un renforcement de capacités des associations locales.

Bref, le tissu associatif serait un partenaire-clé dans le développement durable des quartiers.

Mohamed Chakib