Le ministre de l’Energie chargé des ressources naturelles Yonis Ali Guedi, a reçu dans la matinée du jeudi 28 janvier dernier dans son cabinet une importante délégation pakistanaise qui effectue une visite de travail d’une semaine dans notre pays. Les discussions entre les différentes personnalités portaient essentiellement sur les voies et les moyens de mettre en place un partenariat dans le secteur énergétique et minier.

La position géostratégique de notre pays et son ambition d’utiliser une énergie 100% verte d’ici 2035  attire de nombreux investisseurs internationaux.

Le séjour de la délégation pakistanaise à Djibouti depuis le début de la semaine passée consiste justement à identifier les opportunités économiques et commerciales qu’offre notre pays notamment dans le domaine énergétique et minier.

C’est du moins le sens de leur visite le jeudi 28 janvier dernier dans les locaux du ministère de l’énergie et des ressources naturelles (MERN) sis à la cité ministérielle.

Introduite par le consul honoraire de la république islamique du Pakistan à Djibouti, Imran Muhammad Ilyas, cette délégation  est composée du sénateur Mirza Muhammad Afridi, président du comité sénatorial permanent du commerce et du Conseil des politiques, de Fayaz Thaheem du Congrès international des parlementaires et du PDG du groupe ‘‘Thruth International’’   Muhammad Fahad Thaheem.

A leur arrivée dans les locaux du MERN, ils ont été accueillis par le ministre, Yonis Ali Guedi entouré de plusieurs de ses collaborateurs.

Après un message de bienvenue et des remerciements de part et d’autres, le ministre de l’énergie et des ressources naturelles, Yonis Ali Guedi a, en présence de plusieurs parlementaires Djiboutiens, fait part à ses hôtes de marque, l’abondance d’énergie renouvelable à Djibouti, aussi bien dans le domaine de la géothermie que celui de l’éolienne et du solaire. De leur côté, les membres de la délégation pakistanaise, ont tour à tour mis l’accent sur leurs missions à Djibouti qui selon eux consiste à tisser un lien de partenariat entre les deux pays et les deux peuples.

Il s’agit selon eux de profiter de l’emplacement géostratégique et des principaux secteurs de développement djiboutiens prêts à faire l’objet d’investissements.

Les discussions qui s’en sont suivies par la suite portaient essentiellement sur des questions d’intérêt commun.

Rachid Bayleh