« L’engagement qui lie le gouvernement au peuple djiboutien, c’est de conduire ce pays et son peuple sur le chemin de la prospérité. Et sur ce chemin-là, il est également un devoir : celui de ne laisser personne sur le bord de la route. » (Extrait du discours de son excellence Monsieur Ismail Omar Guelleh).

Par cette ambition pour son peuple et son pays, le Président de la République posait les bases de l’action de son gouvernement dans la lutte contre la pauvreté. Cet engagement qui a abouti en 2007, par la mise en place de l’Initiative Nationale pour le Développement Social (INDS), cadre institutionnel englobant l’ensemble des stratégies nationales de lutte contre la pauvreté. C’est cette initiative qui fera ressortir la nécessité de la création d’un organe dédié à l’exécution du programme du développement ciblé, en faveur des populations vulnérables. Ce sera l’Agence Djiboutienne de Développement Social.

Créée par décret en 2007, l’Agence Djiboutienne de Développement Social (ADDS), loin de constituer un organe de remplacement de l’ADETIP, témoigne, de par les missions qui lui sont assignées, d’un tournant dans la conception et la structuration de la politique de développement du gouvernement : la mise en exergue de la dimension sociale, décidée au plus haut niveau de l’Etat, dans tout projet de développement ; ce qui déterminera la nature des missions confiées à cette nouvelle entité qu’est l’ADDS.