La Rédaction du journal et l’ensemble des personnels de La Nation, du ministère de la communication chargé des postes et des télécommunications et de l’imprimerie nationale ainsi que tous les membres de la presse nationale se joignent à la famille et aux proches du défunt pour adresser leurs vifs remerciements à tous ceux et celles qui, de près ou de loin, ont témoigné de leurs compassion et solidarité en ces moments douloureux, suite à la disparition soudaine de notre valeureux directeur Mohamed Osman Farah (MOF). Que Dieu l’accueille en son paradis éternel, parmi les braves et les justes. Qu’il repose en paix. Amin. Ina Lillah Wa Ina Ileyhi rajioun.
La Nation est endeuillée
Le directeur de publication du quotidien La Nation est décédé. Monsieur Mohamed Osman Farah est parti mercredi 18 décembre dernier. Il est parti en nous laissant en héritage des souvenirs de lui.
Trois images pour décrire l’homme. Mof comme rédacteur en chef du journal. Il centralisait les articles pour établir « le chemin de fer » du numéro en cours de préparation. J’étais en retard avec mon papier. Il m’a attendu avec une infinie patience. Et venait de temps en temps pour m’encourager. J’ai accouché après des bonnes minutes de gestation d’un article incomplet. Le stress. Mof a repris l’article ; l’a retravaillé et signé Amf. Cette première image d’un homme patient, rassurant, rigoureux et altruiste demeurera fixe dans ma mémoire.
Deuxième image. Une semaine après la disparition de Mohamedd Mahmoud Kadieh, Mof avait rendez-vous avec les enfants de son prédécesseur. « Nous allons recruter la fille et placer le garçon dans une entreprise parapublique. C’est tout ce que nous pouvons faire pour notre ami Kadieh… » me confiait-il. Sensible, généreux et plein de compassion envers son prochain, Mof avait une personnalité attrayante et attachante.
Troisième image enfin ; souffrant et fiévreux, Mof était venu au travail…pour la préparation de la Journée Nationale de la Presse. Il avait participé à toutes les réunions préparatoires de l’évènement. Il avait mobilisé et galvanisé ses troupes. Il était au four et au moulin ces derniers temps.
La Nation est endeuillée. Elle vient de perdre son capitaine. Mof, alias Capitaine Hadoche, nous a quittés après avoir amené à bon port le navire La Nation. Que la terre te soit légère et qu’Allah t’accueille dans son paradis éternel. Ina Lillahi Wa Ina Ileyhi Rajicun.
Message de condoléances du ministre du budget
Suite à la triste nouvelle de la disparition brusque de Mohamed Osman Farah (ou MOF pour les amis), directeur du journal la nation, le ministre du budget et l’ensemble de ses collaborateurs et de son personnel s’associent à la douleur de la famille du défunt, ses proches et amis et collègues éplorés par cette perte.Le regretté Mohamed Osman Farah, de par sa formation universitaire, sa passion pour la matière économique et sa plume, travaillait en étroite collaboration avec le ministère du budget et ne manquera pas de marquer ceux qui l’ont côtoyé. Son ouverture d’esprit, sa disponibilité et son caractère jovial étaient ses traits de caractère.
Toutes nos condoléances les plus attristées à sa famille proche et l’ensemble du personnel de La Nation.Prions tous qu’Allah le Tout-Puissant l’accueille dans son janat al fardous. Amin. Ina lillah wa ina ilayhi rajihoun.
Message de condoléances
C’est avec beaucoup de tristesse que j’apprends ce matin, à travers la une de La Nation, le décès brutal de Mohamed Osman Farah, directeur de la Publication.
Au nom de l’ensemble du personnel du Groupe COUBECHE et en mon nom personnel, j’adresse mes plus sincères condoléances à sa famille, ses proches et à tous ses collaborateurs.
Kennedid Ibrahim, à travers le très bel article qu’il lui a dédié, rend hommage à l’homme et au professionnel qu’il était.
Que ce soit en tant que lecteur ou opérateur économique, nous sommes très touchés par la disparition de MOF qui, à travers la pertinence de ses écrits, relayait et mettait en lumière la voix et la vie des Djiboutiennes et Djiboutiens.
Il laisse derrière lui un lourd héritage à porter et une plume qu’il faudra continuer à faire ‘’résonner’’.Que la terre lui soit légère et qu’Allah l’accueille dans son Paradis Eternel.
MAGDA REMON COUBECHE