En prélude de la tenue du conseil d’administration de Smart Africa, qui débute ce lundi 11 février 2019 à Addis-Abeba en Ethiopie, le ministre de la Communication chargé des Postes et des Télécommunication, Abdi Youssouf Sougueh, accompagné de son conseiller technique, Abdi Ali Fod, et de la cheffe de service de la planification également point focal de Smart Africa, Absan Mohamed Djama, a pris part à une réunion de travail du comité de pilotage de Smart Africa, qui s’est tenue le vendredi 8 et le samedi 9 février dernier dans la salle de conférence de l’hôtel Intercontinental, de la capitale éthiopienne.

Présidé par le directeur exécutif du secrétaire de Smart Africa, Dr Hamadoun I. Toure,  cette réunion des ministres de la Communication des pays membres de l’organisation Smart Africa et des chefs d’entreprises privées du secteur des TIC, qui s’est tenue le vendredi 8 et le samedi 9 février dernier, dans la salle de conférence de l’hôtel Intercontinentale, à Addis-Abeba, avait pour but de préparer la rencontre du conseil d’administration de Smart Africa qui débute ce lundi 11 février 2019 dans la capitale éthiopienne.  Etant membre du comité de pilotage de cette alliance stratégique au service du développement des TIC en Afrique, la République de Djibouti était représentée par son  ministre de la Communication, chargé des Postes et des Télécommunications, Abdi Youssouf Sougueh, accompagné de son conseiller technique, Abdi Ali Fod, et de la cheffe de service de la planification mais également point vocal de Smart Africa, Absan Mohamed Djama.

D’importantes décisions réglementaires et techniques, relatives au processus de mise en œuvre effective du Réseau Africain Unique, seront prises lors de ce Conseil d’Administration de Smart Africa, qui sera clôturé demain, mardi 12 février 2019. Ces mesures devraient traduire l’affirmation de la souveraineté des pays africains à surveiller leur propre trafic, le renforcement du commerce intra-africain et le programme de transformation socio-économique, le soutien des efforts d’intégration continentale africaine, en particulier la libre circulation des personnes, des biens et des services à travers le continent.

Rappelons que Smart Africa  compte à ce jour 17 Etats membres. Il s’agit d’une alliance fondée en 2013 à Kigali, au Rwanda, pour connecter le monde, et aider les pays membres à atteindre les objectifs du développement durable. Elle a pour mission d’accélérer le développement socio-économique durable du continent, en introduisant l’Afrique dans une économie de la connaissance grâce à un accès abordable au haut débit et à l’utilisation des technologies de l’information et de la communication (TIC).

Rachid Bayleh