Le ramadan, période d’abstinence et de transcendance, est pourtant devenu le mois de la surconsommation.

Nombreux sont les ménages djiboutiens qui s’interrogent sur les dépenses inhérentes au repas du petit matin «suhur» à base de céréales. Lequel est consommé par les fidèles musulmans avant le début du jeûne. Car il permet de calmer l’appétit tout au long de la journée jusqu’à la rupture du jeûne. La plus grande majorité de la population djiboutienne s’adonne à la consommation du céréale en provenance de l’Ethiopie. D’après une enquête sur le terrain, on s’est rendu compte que le prix de la céréale augmente alors que sa consommation est excessive.