L’eau est synonyme de vie et, bien avant la science, Dieu le mentionnait déjà dans le Saint Coran en ces termes : «Nous avons tiré toute matière vivante de l’eau » (S.21, V.30).Elle est donc précieuse pour l’humanité. Les personnes qui se démènent pour assurer sa distribution à ceux qui en ont besoin, gagnent la Bénédiction du Très Haut, c’est certain. Depuis la nuit des temps, l’eau a toujours été une source de conflit. Surtout, dans les régions arides à faible pluviométrie où, l’homme continue de défendre bec et ongle le moindre point d’eau pour sa survie. Et les nomades que nous sommes, devons sentir plus qu’ailleurs, la valeur de ce précieux liquide. Depuis l’époque des puits de l’oued d’Ambouli où, elle était distribuée à dos d’ânes ou de chameaux pour alimenter la faible population des premières années d’existence de la ville ; en passant par les fontaines publiques et les fameux porteurs d’eau ; jusqu’à cette nouvelle ère, meilleure certes mais compliquée par une démographie galopante malgré les moyens considérables déployés pour subvenir aux besoins des consommateurs…que de chemins parcourus !Vu la taille de l’Office et l’importance du sujet, ce dossier spécial destiné aux passionnantes activités de l’Onead sera publié en deux parties. Nous vous proposons donc cette semaine l’eau et sa fabuleuse histoire à Djibouti. Ainsi, vous verrez que la gestion de l’eau n’a jamais été une mince affaire et que ses problèmes sont souvent sans fin. A vos marques !!!

L’eau est synonyme de vie et, bien avant la science, Dieu le mentionnait déjà dans le Saint Coran en ces termes : « Nous avons tiré toute matière vivante de l’eau » (S.21, V.30).Elle est donc précieuse pour l’humanité. Les personnes qui se démènent pour assurer sa distribution à ceux qui en ont besoin, gagnent la Bénédiction du Très Haut, c’est certain. Depuis la nuit des temps, l’eau a toujours été une source de conflit. Surtout, dans les régions arides à faible pluviométrie où, l’homme continue de défendre bec et ongle le moindre point d’eau pour sa survie. Et les nomades que nous sommes, devons sentir plus qu’ailleurs, la valeur de ce précieux liquide. Depuis l’époque des puits de l’oued d’Ambouli où, elle était distribuée à dos d’ânes ou de chameaux pour alimenter la faible population des premières années d’existence de la ville ; en passant par les fontaines publiques et les fameux porteurs d’eau ; jusqu’à cette nouvelle ère, meilleure certes mais compliquée par une démographie galopante malgré les moyens considérables déployés pour subvenir aux besoins des consommateurs…que de chemins parcourus !Vu la taille de l’Office et l’importance du sujet, ce dossier spécial destiné aux passionnantes activités de l’Onead sera publié en deux parties. Nous vous proposons donc cette semaine l’eau et sa fabuleuse histoire à Djibouti. Ainsi, vous verrez que la gestion de l’eau n’a jamais été une mince affaire et que ses problèmes sont souvent sans fin. A vos marques !!!

A ses premières années donc, les ressources d’eau et les moyens de distribution utilisés étaient rudimentaires dans la toute nouvelle ville de Djibouti. L’eau était collectée à partir de quelques puits à faible profondeur, creusés à la main par des particuliers sur le lit de l’oued d’Ambouli, de façon artisanale. Des marchands d’eau achetaient le précieux produit et le transportaient, dans des outres en argile et des bidons, à dos d’ânes ; ou dans des fûts montés sur des charrettes tractées par des chameaux. Ces marchands d’eau alimentaient tous les habitants de la ville mais aussi, les nombreux chantiers de construction qui pullulaient à cette époque. Y compris le port et le chemin de fer. Au vu des besoins visiblement énormes, ce système de distribution rudimentaire s’avéra très vite insuffisant.

C’est alors que deux riches entrepreneurs, dont les travaux étaient pénalisés par cette alimentation au compte-gouttes, vont essayer d’exploiter le filon et d’investir. Fraîchement associés, ils avaient créé « l’Entreprise Générale de Construction et des Travaux Publics ». Cette entreprise, qui fut chargée de la construction du premier tronçon de la ligne de chemin de Fer Djibouti-Diré Dawa, s’était également lancée dans l’aménagement du port pour faciliter le déchargement du matériel volumineux dont elle importait. De la même façon, les deux associés vont tenter de mettre sur pied un service performant capable d’assurer une meilleure gestion de l’eau. Pour cela, ils vont demander une concession d’exploitation au gouverneur de la colonie et l’obtenir. Car, la proposition est alléchante. Ils s’engagent de créer des infrastructures adaptées aux besoins de la ville, et des grands chantiers, en promettant de développer les techniques de production de l’eau et de construire un véritable réseau de distribution. Ainsi, cette concession va jeter les bases d’une première collaboration entre l’administration et le secteur privé. On est en 1897. Cette collaboration, qui fut à l’origine des premières infrastructures d’eau à Djibouti, façonnera son développement urbain. Mais l’entreprise, qui doit ravitailler en priorité le port et la compagnie de chemin de fer, sous-estima la croissance fulgurante de la ville et se retrouva bientôt dans l’incapacité de fournir de l’eau à tout le monde. Les activités générées par le chemin de fer, le port, les marrais salants et les échanges commerciaux attiraient de plus en plus de commerçant et de main- d’œuvre. La ville comptait désormais …huit mille habitants.

Le début d’un véritable réseau de distribution

Peu importe. Les propriétaires de l’entreprise s’étaient engagés à développer les ouvrages de collecte d’eau de l’oued, de construire des réservoirs de stockage dans la ville, avec une capacité équivalente à trois jours de consommation, et de poser des conduites d’alimentation pour remplir ces réservoirs et ravitailler les navires. A cause de ses multiples chantiers, l’entreprise fit face à de graves problèmes financiers et tomba en faillite en 1899. Dans la même année, le contrat de la concession d’exploitation d’eau est rétrocédé à la « Société Industrielle de Djibouti », créée en 1898 pour réaliser et exploiter une fabrique de glace dans le port. Cette société va prendre le dossier à bras le corps et faire avancer les travaux. Elle agrandit les galeries de collecte d’eau, installe la première station de pompage et finalise la construction d’un réseau de distribution long de six kilomètres pour alimenter la ville en eau potable. La naissance de ce service d’eau moderne attira de plus en plus de navires qui viennent faire escale au port de Djibouti et se ravitailler en eau et en charbon. L’augmentation de leur fréquentation et la commercialisation de la ligne de chemin de fer Djibouti-Dire Dawa, en 1902, quintuplèrent les activités commerciales d’une Cité qui n’arrêtait pas d’attirer du monde. La population augmentait donc et la demande en eau potable aussi. Quelle était alors, la situation réelle de cette « Société Industrielle de Djibouti » chargée de la gestion de l’eau et quel volume offrait-elle à ses clients ?Depuis la mise en place de son réseau de distribution, la société avait amélioré sensiblement son service et multiplié par trois sa production en 10 ans. Elle passera de 36 000 m3 en 1900 à 100 000 m3 en 1910. Malgré ces efforts, la production de la société resta très inférieure à la demande car, en cette année-là, les besoins en eau étaient estimés à plus de 600 000 m3. Ces chiffres, qui mettent en lumière la grosse différence entre l’offre et la demande, prouvent que la ville traversait une forte pénurie en matière d’eau malgré les apparences. Et au fil des mois, la qualité du service se dégradait et devenait insupportable. Le port et le chemin de fer en souffrait.

Une nouvelle convention, beaucoup plus exigeante et précise celle-ci, sera mise en place au mois de mars 1919 et prendra fin, vingt ans après, au mois de février 1940. Celle-ci rend la société responsable de toute insuffisance d’eau et prévoit, à la différence de la première, de grosses pénalités en cas de manque d’eau ou de retard dans l’exécution des travaux d’amélioration du réseau tels que prévus par le contrat de concession. Celui-ci prévoit également le retour gratuit de la totalité des infrastructures existant à la fin de la date limite de la concession. L’administration se réservant le droit de racheter la concession pour une raison ou une autre. En échange, la société obtient l’exploitation gratuite de la concession durant ces vingt ans et une période de dix années supplémentaires durant laquelle, elle sera taxée d’une redevance annuelle de 40 000 francs. Conformément au cahier des charges, la Société Industrielle de Djibouti creusera dans la nappe de l’oued d’Ambouli, de nouvelles galeries d’une longueur de 450 mètres capables de fournir un débit quotidien de 1200 m3. Elle mettra à disposition une unité de pompage de 50 m3/heure avec un lot de deux groupes électrogènes. Le cahier des charges prévoit tout dans cette deuxième convention. De la construction de trois réservoirs jusqu’aux infrastructures  et équipements destinées au réseau de distribution de la ville. Mais cette société ne respectera jamais ses engagements à la lettre et fera tout pour réduire au maximum ses dépenses. Malgré ce constat, et à l’issue des dix années supplémentaires, l’administration coloniale rallongera encore de 15 ans la concession qui arrivera à terme en 1965. 

La naissance d’un véritable service public

C’est à cette date, que l’administration prit la concession à son compte et créa la Régie des Eaux, qui est placée sous tutelle des Travaux Publics, pour prendre la relève de la société privée. Outre l’alimentation en eau de la ville de Djibouti, cette Régie sera également chargée d’approvisionner les Chefs-lieux des Districts de l’intérieur. Tandis que le Génie Rural aura pour mission de réaliser des forages en faveur des populations rurales. Après l’indépendance, la République de Djibouti confirma ce schéma de service en les mettant simplement sous tutelle administrative différente. Durant les premières années d’indépendance, la croissance de la population, freinée par des années de répression, reprit de plus belle et déclencha un  développement urbain dont, les administrations concernées ont souvent du mal à suivre le rythme. Pour mieux gérer la question de l’eau dans les différentes villes et augmenter la performance, le gouvernement met un terme à l’existence de la Régie des Eaux pour créer en 1983, un établissement à caractère industriel et commercial dénommé « Office National des Eaux de Djibouti (ONED) » et placé sous tutelle du Ministère de l’Industrie, de l’Energie et des Mines. Cet office, qui est doté d’une autonomie financière pour être beaucoup plus efficace, va prendre à son tour, la relève de la Régie des Eaux. Au-delà des missions de gestion d’eau qui lui incombe, le nouvel établissement est également chargé de la recherche de ressources en eau pour garantir l’approvisionnement des centres urbains. A ce titre, il dispose d’un service spécialisé dans les études et les recherches de nappes susceptibles de fournir de l’eau en quantité exploitable. Dès lors, l’ONED va multiplier la réalisation de forages tant pour Djibouti que les Chef-lieux des régions. Mais la course derrière cette folle croissance reste à jamais effrénée. L’expansion de la ville de Djibouti est fulgurante et sa population augmente à vue d’œil. Pour suivre le rythme et rester dans la course, l’Office doit faire suivre sa production, ses capacités de pompage et de stockage et étendre ses réseaux en permanence. Des forages sont ainsi réalisés, les capacités de pompage toujours améliorées, les vieilles canalisations remplacées, des nouvelles sont réalisées ailleurs, des châteaux d’eau construits et le réseau agrandi perpétuellement. La ville de Djibouti et son agglomération ont considérablement changé de physionomie. L’élan économique déclenché par le Président Ismaïl Omar Guelleh et le développement des infrastructures portuaires, ferroviaires et routières qui ont suivi, vont à leur tour, entraîner l’explosion d’une urbanisation à grande échelle et souvent non planifiée hors de la vieille ville.

Et les infrastructures communautaires sont dans l’obligation de suivre car, la population de chaque nouvelle zone urbaine a forcément besoin de routes, d’eau, d’électricité, de voirie, d’assainissement etc… Dans l’impossibilité technique de coordonner leurs actions, chacun de ces différents services cités plus haut, suit son propre parcours du combattant pour essayer de remplir convenablement ses missions. Dès qu’il y a un problème quelque part, ils sont automatiquement montrés du doigt. C’est pour réduire certains champs de responsabilités que le Gouvernement va associer le service de l’Eau et celui de l’Assainissement. Ainsi, l’ONEAD vit le jour.

L’ONEAD et le développement de l’eau

Depuis sa création, l’ONEAD a réalisé un grand nombre de forages dans le pays. Pas moins de 55 forages àDjibouti-ville et 25 forages dans les 5 régions sont aujourd’hui en activité et opérationnels 24h/24. L’Office a mis en place également 8 stations de pompage et possède une usine de dessalement à Ali-Sabieh. S’ajoute à cela, 5 châteaux d’eau en service à Djibouti-ville et 14 réservoirs de grande capacité dans l’ensemble du pays. Sans oublier les 400 kilomètres de canalisations destinées à la distribution, à l’adduction et au refoulement du réseau des différentes communes de la capitale ; et les 205 kilomètres des réseaux régionaux. Ainsi, l’Office produit chaque jour 52250 m3 pour la capitale et 7000 m3 pour les Chefs-lieux des cinq régions. Pour remplir une telle mission et fournir le volume nécessaire à la consommation de la population, il faut assurer en permanence un niveau de production qui frôle l’excellence. Puis, effectuer un contrôle et un traitement permanent de l’eau pour garantir sa potabilité.

Enfin, il faut pouvoir stocker  le volume nécessaire et être capable de le distribuer dans les normes. Pour que cette mission soit convenablement remplie, la maintenance des infrastructures et des équipements doivent être non seulement parfaite mais irréprochable. Car, il ne suffit pas de développer les ressources d’eau, encore faut-il les préserver et assurer leur distribution, à travers des réseaux conformes et dans des conditions sanitaires exemplaires pour le bien être des usagers.

Le civisme fait défaut chez certains

Malheureusement, la population n’accompagne pas les efforts de l’Office et beaucoup commettent des effractions qui font obstacle au bon fonctionnement du réseau. Nous pensons aux raccordements pirates, aux distributions illégales de l’eau et sa vente. Ou encore aux dommages causés régulièrement sur les conduites principales pour s’approvisionner au détriment de toute une population. Nous pensons à cette collaboration qui fait défaut et à cette nonchalance inexpliquée qui empêchent d’intervenir pour empêcher une effraction ou signaler une anomalie etc…Lorsqu’on perfore une conduite pour un simple usage personnel, la pression est perdue et l’eau avec. A cause de ce petit geste, des milliers de foyers seront sans eau pour une durée indéterminée. Les piratages sauvages réduisent eux aussi les débits et pénalisent d’honnêtes citoyens. Vous allez peut-être rétorquer que l’eau est chère à Djibouti et lancer la polémique habituelle ! Peu de gens savent que le mètre cube d’eau facturé par l’ONEAD est inférieur au prix de la bouteille que nous achetons régulièrement. 1 m3 vaut 75 FD comparé au 1,5 l vendu à 100 FD. Personne ne se plaint du prix de la bouteille. C’est un exemple comme tout autre. Lorsque l’ONEAD réalise un branchement, le client ne paye que le coût des travaux et pas un centime de plus.

Durant cette enquête, nous avons constaté d’énormes difficultés concernant le règlement des factures. Et ce n’est pas toujours les plus démunis qui sont des abonnés à problèmes. Lorsqu’il s’agit de facture d’eau, personne ne s’empresse pour régler sa facture et s’il y a coupure, c’est le scandale.  L’ONEAD a également des salariés à payer, des charges d’exploitation à supporter et des investissements à amortir. Ses créanciers n’ont pas l’habitude d’attendre et c’est à travers les recettes que tous les établissements peuvent s’acquitter des crédits encourus.

Par ailleurs, contrairement à l’idée reçue, l’Office n’est pas paralysé par une quelconque incapacité de fournir de l’eau à ses abonnés. La douleur ressentie ici et qui provoque un énorme manque à gagner s’appelle la sous-consommation.  Selon les responsables de l’ONEAD, l’offre est, de loin, supérieure actuellement à la demande dans notre pays. La population ne consomme pas assez d’eau. C’est le deuxième obstacle que l’ONEAD cherche à surmonter. Car, si la consommation tourne au minima, la recette réalisée sera insuffisante et l’Office se retrouvera dans l’incapacité d’assurer ses charges d’exploitation et d’amortir ses investissements.

Toujours à la recherche de ressources

Au-delà des investissements réalisés dans les forages du pays, pour augmenter la production ; et, grâce à cette volonté de développement socio-économique qui anime le Président de la République, SEM Ismaïl Omar Guelleh, l’Office National de l’Eau et de l’Assainissement de Djibouti a réussi son projet d’interconnexion d’eau avec l’Ethiopie. Ce pays ami ayant concédé gratuitement l’extraction de 100 000 m3 d’eau par jour, pour une durée de vingt ans, sur une partie des 80 hectares de terre offerts à Djibouti dans la région de Hadagala. En investissant la réalisation de 28 forages de 500m de profondeur et dans les infrastructures nécessaires au pompage, à l’acheminement vers Djibouti et au stockage de l’eau, l’ONEAD a considérablement augmenté ses capacités de production d’eau potable.  Les régions d’Ali-Sabieh, Dikhil, Arta ayant été les premiers à bénéficier de ce nouveau service. Rappelons que ce projet transfrontalier a été inauguré le 22 Mars 2015, par le Président de la République, à Ali-Sabieh.Ce projet, qui est aujourd’hui opérationnel, s’avère être un exemple de réussite de la politique d’intégration régionale initiée par les dirigeants des deux pays.L’acheminement de l’eau et son stockage sont assurés, depuis son point de production jusque sa destination finale, par la gravité naturelle du relief qui génère une pression suffisante même pour sa distribution finale.

Parallèlement, la construction d’une usine de dessalement d’une capacité de 22500 m3 par jour est en cours de finalisation. Cette usine, qui utilise les technique de dernière génération pour dessaler l’eau de mer est une usine dont tous les composants sont conçus pour supporter le fort taux de salinité, la chaleur extrême et l’humidité de la région. La plus grande partie de l’eau potable est obtenue par effet thermique en chauffant l’eau de mer dans une cuve et collecter la vapeur obtenue dans une autre cuve. La partie restante étant traitée par la technique de l’osmose inverse ou rejeté en mer.

Les travaux de la première phase sont prévus pour être achevés au mois de décembre prochain. La production de cette usine, une fois mise en service, rejoindra les réservoirs de stockage et sera distribué aux consommateurs pour combler ainsi, cette demande toujours croissante de la population de la ville de Djibouti. Par ailleurs, les investissements réalisés dans les infrastructures de pompage sont énormes. Au cours de cette seule année, un nombre important de pompes neuves, avec toutes ses structures de raccordements et de tuyauteries, a été mis en service pour remplacer les vieux équipements. Un support informatique permettant de contrôler le bon fonctionnement de la station et les différents débits  de pompage (arrivée et départ).

Malgré les énormes moyens humains, matériels et financiers déployés, des actions imprévisibles sapent souvent l’image de l’ONEAD. L’urbanisation imprévisible et souvent sauvage n’arrange pas les choses. Pourtant l’Office, avec son personnel fidèle et dévoué pour exécuter ses différentes missions, restera inlassablement au service du peuple et de la patrie pour continuer à distribuer cette eau tombée du ciel. Et son rythme, à l’image du Président, sera cadencé et sûr.

Par A.A.-MAHE