Du 17 au 20 août dernier, des campagnes de sensibilisation sur les violences basées sur le genre (GBV) et les dangers de la migration irrégulière se sont tenues dans plusieurs quartiers de la capitale.

L’organisation internationale pour les migrations et l’union nationale des femmes djiboutiennes ont sillonné la semaine dernière plusieurs quartiers de la capitale pour discuter, et apporter des réponses aux questions sur les violences basées sur le genre et les dangers de la migration irrégulière.

Les populations ciblées lors de ces rencontres étaient principalement les femmes, les jeunes filles réfugiées, les migrantes et toutes les personnes touchées de prés ou de loin par ces thèmes.

C’est à travers des dialogues communautaires que ces séances de discussions se sont tenues dans les différents quartiers de la capitale.

Les séances de sensibilisations ont principalement été axées sur les violences et leurs conséquences, les étapes à suivre si une personne est victime de violence, et la présentation du protocole national de référence dans la lutte contre les violences basées sur le genre.

Par ailleurs les représentantes du réseau des comités de gestion communautaires de l’Union Nationale des Femmes Djiboutiennes et l’équipe de l’Organisation internationale pour les migrations ont également effectué une présentation du guide d’information et de sensibilisation sur les méthodes de planification familiale, l’accès aux centres de santé et de maternité, et les dangers des migrations irrégulières Financées par l’union européenne, ces activités s’inscrivent dans le cadre du programme « Solutions pérennes pour les populations hôtes, les réfugiés et les migrants les plus vulnérables à Djibouti.»

N. Kadassiya