La situation socio-économique des femmes migrantes de Djibouti-ville était au centre des discussions lors d’un atelier organisé le lundi 15 juin dernier, au palais du peuple, par le Ministère de la Femme et de la Famille en collaboration avec le bureau local de l’Organisation Internationale pour les Migrations (OIM). 

La secrétaire générale du ministère de la femme et de la famille, Anissa Hassan Bahdon a présidé le lundi 15 juin dernier, au palais du peuple, un atelier duquel, il était question de valider une étude menée sur la situation socio-économique des femmes migrantes de Djibouti-ville.

Organisé par le ministère de la femme et de la famille, en étroite collaboration avec la mission de l’organisation internationale pour les migrations sous nos cieux, l’évènement s’est déroulé en présence d’une représentante de l’OIM, de hauts cadres du MFF dont notamment le conseiller technique, Ismail Mohamed Ismail et la directrice de l’Observatoire du genre, Choukri Houssein Djibah, la coordinatrice des programmes et projets de l’UNFD Roukia Ali Djama, des représentants des ministères sectoriels concernés par la thématique et ceux des organisations onusiennes de Djibouti.

Après un mot de bienvenue de la secrétaire générale du MFF, Anissa Hassan Bahdon, les discussions entre les participants tournaient autour de la situation socio-économique  des femmes migrantes vivant dans la capitale djiboutienne.

Il s’agit ici pour les instigateurs de ce programme, en l’occurrence le ministère de la femme et de la famille, de réduire la vulnérabilité de cette tranche de la population hôte en mettant en place des politiques et des stratégies adéquates permettant à ces femmes migrantes, une meilleure prise en charge concernant leurs besoins. 

A l’issue des discussions, les participants de l’atelier de lundi 15 juin 2020, ont validé les documents permettant aux femmes migrantes vivant à Djibouti-ville de bénéficier d’une prise en charge adéquate visant à répondre à leurs besoins socio-économiques.  

Rachid Bayleh