Le ministre de l’Equipement et des Transports, Mohamed Abdoulkader Moussa, a présidé dimanche 21 avril dernier la séance de présentation des études des projets de réaménagement de la Route nationale 1 et celle du Roi Fahad dont l’un est financé par le Japon et l’autre par le Fonds Saoudien de Développement (FSD).
Une réunion technique sur le réaménagement de la route nationale 1 (Dikhil-Galafi) et celle du Roi FAHD reliant le PK51 à Tadjourah s’est tenue dimanche 21 avril dernier dans les locaux du ministère de l’Equipement et des Transports (MET). Présidée par le ministre Mohamed Abdoulkader Moussa, la séance de travail a regroupé autour d’une table, des hauts responsable de la direction des opérations du Fonds Saoudien de développement, conduits par Abdullah Al Romeh, le conseiller chargé des investissements auprès du Président de la République, Fahmi Ahmed El Hag, des cadres supérieurs de l’ADR, dont le directeur général par intérim, Osman Houssein, le conseiller technique du MET, Ahmed Abdo Ali, et des consultants des cabinets d’études de ces deux projets. Après le message de bienvenue et remerciement de part et d’autre, le ministre de l’Equipement et des Transports, les représentants du FSD, et les cadres de l’ADR ont écouté d’une oreille attentive l’exposé des consultants sur les études de faisabilité faites sur le terrain dans le cadre du projet de réaménagement de la route nationale 1 et plus particulièrement le tronçon de route reliant la ville de Dikhil à la localité Galafi sise à la frontière entre Djibouti et l’Ethiopie ; et celui de la route de l’unité ou route du Roi FAHD, reliant le PK 51 à la ville blanche du nord du pays afin que l’ADR et les opérateurs saoudiens puissent donner leurs avis et évaluer la viabilité technique et économique de ces projets.
Il est important de souligner que les travaux de réaménagement de ces deux routes démarreront dans les mois à venir. Notons que l’aboutissement de ces deux projets d’envergure, revêt une importance capitale pour notre pays, qui pour renforcer sa position géostratégique, et confirmer ainsi son statut de porte d’entrée du continent africain, doit restructurer et réaménager ses réseaux routiers dans la perspective de l’intégration régionale. A l’issue de la présentation des études, M. Mohamed Abdoulkader Moussa Helem s’est dit réjoui de l’état d’avancement de ces deux chantiers. Il a insisté sur l’importance de ce projet d’envergure. Lequel aura un rôle crucial dans le développement social et économique des régions du nord et du sud du pays.
Enfin, le ministre de l’Equipement et des Transports a adressé des remerciements appuyés aux gouvernements de l’Arabie Saoudite et du Japon pour leurs contributions conséquentes qui serviront au financement de ces projets.
Rachid Bayleh