Dans le cadre de la lutte contre l’insalubrité, la mairie de Djibouti a installé dans chaque rue du quartier commercial de la capitale des corbeilles de rues munies d’un éteignoir à cigarette. Il s’agit pour l’édile de Djibouti-ville, Fatouma Awaleh Osman et ses membres du conseil de Djibouti, initiateurs de ce projet de mise en place de ces corbeilles, que dorénavant les actes d’incivilité qui ternissent l’image de notre capitale, ne seront plus tolérés.
Dépôts sauvages, mégots, détritus divers au sol et trottoirs souillés par les déjections… l’édile de Djibouti-ville, Fatouma Awaleh Osman est désormais déterminée à en finir avec les petits actes d’incivilités du quotidien qui ternissent l’image de notre ville, et notamment celle de ce quartier de cette commune qui représente la vitrine de notre capitale.
En effet, depuis le début de cette semaine, des équipes de la mairie, conduite par leur directeur technique, Osman Abdi Hassan, sillonnent les différentes rues et artères principales du quartier commercial de la capitale, pour y installer des corbeilles munies d’éteignoirs à cigarette.
Placés sur les lieux de passages intensifs, ces nouveaux équipements sont destinés à faciliter aux citadins de jeter les petits détritus et les mégots de cigarette dans ces corbeilles.
Il s’agit ici pour la maire de Djibouti, Mme Fatouma Awaleh Osman, initiatrice de ce projet d’envergure de mieux lutter contre l’insalubrité et de faire de notre capitale, une ville propre, saine et attractive.
Rappelons qu’outre les plantations d’arbres sur le long des artères principales de la capitale et le ramassage des épaves de véhicules et autres carcasses métalliques abandonnées sur les trottoirs des communes de Boulaos et de Ras-Dika, la mairie de Djibouti a également mise en place un arrêté municipal sanctionnant l’incivisme tel que le déversement des poubelles et des eaux usées sur les voies publiques.
Il reste maintenant aux citoyens d’adopter les bons réflexes et à utiliser ces nouveaux équipements. Car dorénavant, il ne sera à quiconque de ternir la splendeur et l’image de notre capitale.
Rachid Bayleh