Le secrétaire général du ministère de l’agriculture, de l’eau, de la pêche, de l’élevage et des ressources halieutiques, Ibrahim Elmi Mohamed, a présidé mardi dernier au Sheraton hôtel un atelier de lancement de la mise en œuvre du dispositif du système de suivi et évaluation en matière de Wash en milieu rural.
La séance solennelle d’ouverture a eu lieu en présence notamment de la représentante de l’Unicef à Djibouti, Melva Jonhson, et de nombreux représentants des départements concernés.
L’éradication de la soif, la facilité d’accès à l’eau potable et l’assainissement constituent l’une des priorités absolues du gouvernement, notamment le MAEPE RH.
« Ainsi faire de ce vœu une réalité concrété et mettre les populations des zones rurales à l’ abri des difficultés liées au stress hydrique sont les nobles missions que poursuit sans relâche la direction de l’hydraulique rural du ministère de l’agriculture jusqu’aux recoins les plus reculés de notre territoire national », a fait savoir d’emblée M. Ibrahim Elmi Mohamed.
Les différentes activités menées dans le cadre du développement du secteur depuis longtemps ont permis d’atteindre des succès appréciables en particulier dans le domaine des réalisations des ouvrages. Mais malheureusement le secteur continue de souffrir de l’insuffisance de la fiabilité des données pour définir le cadre de mesure de la performance des indicateurs du secteur en milieu rural, et se présentant en obstacle majeur au développement durable.
« Nous nous sommes encore réunis aujourd’hui au Sheraton Hôtel, pour vous faire part du lancement de l’opérationnalisation effective du dispositif du système de suivi évaluation secteur Wash, Eau et Assainissement en milieu rural », a-t-il dit en indiquant : « ce dispositif permettra de faciliter l’atteinte des objectifs du gouvernement en créant un processus capable de mesurer périodiquement l’étendue, la profondeur et l’évolution de la mise en œuvre des différentes actions dans le secteur Wash. Il servira aussi à analyser l’approche d’intervention, les résultats, les effets, les impacts et les limites».
Zouhour