Le ministre de la justice et des affaires pénitentiaires, chargé des droits de l’homme, Ali Hassan Bahdon, a accueilli  jeudi dernier dans son cabinet le nouvel ambassadeur de la Fédération de Russie auprès de la république de Djibouti, Mikhail Golovanov. Cette première rencontre a permis aux deux hommes de faire un tour d’horizon sur les relations bilatérales entre leur deux pays, notamment dans le domaine de la justice.

La visite du diplomate russe au ministère au ministère de la justice et des affaires pénitentiaires, le jeudi 5 mars dernier, s’inscrit dans le cadre de ses prises de contact avec les membres du gouvernement djiboutien depuis sa prise de fonctions en sa qualité de nouvel ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de la Fédération de Russie à Djibouti, le 25 juin 2019.

Après l’accueil, la ministre Ali Hassan, Bahdon n’a pas manqué de souhaiter à son hôte, la bienvenue et un plein succès dans l’accomplissement de sa mission diplomatique, dans notre pays.

De son côté, l’Ambassadeur Mikhail Golovanov a, après remerciement, remis au ministre de la justice, une lettre d’invitation officielle pour participer à un forum international axé dans le domaine de la justice qui se tiendra au mois de mai prochain, dans son pays. Selon le diplomate russe, des officiels de plus de 90 pays à travers le monde, participeront à ce colloque qui aura lieu dans la ville de Saint-Pétersbourg pour discuter sur divers sujets liés à la justice.

Au cours de l’entretien qui s’en est suivi, les deux hommes ont mis l’accent sur divers sujets d’intérêt général dont notamment les liens qui unissent la Russie et l’Afrique, ainsi qu’avec le monde musulman. Le Garde des sceaux et le nouveau chef de la chancellerie de la Fédération de Russie à Djibouti se sont engagés par la suite, de consolider les liens d’amitié et de coopération existant entre nos deux pays.

A noter que le secrétaire général du ministère de la justice, Maki Omar Abdoulkader et la conseillère technique de son ministre, Farhya Djama Ibrahim ont assisté à cet entretien.

Rachid Bayleh