« Ce plan de travail conjoint entre le ministère de la santé et le FNUAP s’inscrit dans la droite ligne de la politique du gouvernement dont l’objectif est d’améliorer la santé de la mère et du nouveau-né en vue d’accélérer  la réduction de la mortalité maternelle et néonatale. 

Je suis confiant que nous allons travailler de façon efficace et sereine pour atteindre les objectifs assignés. Les défis sont immenses et les attentes tout autant, mais ensemble, nous avons la capacité de faire évoluer la santé de la mère et du nouveau-né.

La santé de la mère et de l’enfant a toujours été considérée comme une priorité de premier ordre par le gouvernement, plus particulièrement par le chef de l’Etat,  Ismaïl Omar Guelleh. Cette volonté politique, réaffirmée au cours de cette dernière décennie, s’est traduite par un investissement important dans l’élargissement de la couverture sanitaire, dans la mise en place d’infrastructures intermédiaires pour absorber le flux de population aux premiers niveaux. C’est le cas des polycliniques que nous continuons d’améliorer,  dans la formation des ressources humaines, dans la disponibilité des médicaments  et autres produits de santé, sans oublier l’accompagnement de nos partenaires au développement. Ces efforts conjugués ont permis la réalisation des progrès significatifs notés sur le terrain.

Nos deux institutions, le ministère de la santé et le FNUAP, partagent le même souci : celui de prendre en charge  les mères et les nouveaux nés. Et pour ce faire, dans le cadre de ce plan de travail, il  faudra  consolider les acquis  et mettre des efforts sur le renforcement des capacités institutionnelles,  les normes et protocoles  de prise en charge par niveau afin de prodiguer des soins de qualité, les équipements, le renforcement des compétences des prestataires, la disponibilité des médicaments et intrants essentiels.

Au moment où nous signons ce plan de travail, des milliers de femmes et enfants attendent des engagements de notre part qui sont à la hauteur de leurs attentes. Tâchons de ne pas les décevoir.

Je ne saurais terminer mon propos sans adresser mes vifs remerciements au FNUAP et à sa représentation locale, pour leur appui.

A tous, je demande le plus grand engagement pour améliorer les indicateurs liés à la santé de la mère et de l’enfant. »