En cette période de canicule où le mercure grimpe, les djiboutiens prennent d’assaut la mer et les plages pour fuir la chaleur et se procurer momentanément un instant de fraicheur. Jeunes et moins jeunes, durant les après-midis, ils se rendent en masse dans ces lieux qui ne désemplissent pas. Des familles entières ont pris l’habitude de nager, pratiquer du sport au bord de la plage, mais aussi se reposer en profitant de la brise de mer. C’est un refuge anti-canicule naturel.
Aussi la vigilance doit être de mise car le covid 19 continue de se propager malgré une baisse très sensible du nombre de contamination. Les rassemblements comme ceux observés à la mer sont propices à la transmission du virus. Cet été, les vacances dans les pays limitrophes n’étaient pas possible à cause de la fermeture des frontières, les djiboutiens en ont profité pour redécouvrir leur pays et les régions reculées. Ils passent des vacances inédites.