Jeudi dernier, le stage de formation des entraîneurs de judo organisé par la Fédération djiboutienne de judo en coopération avec le Comité national olympique et le Secrétariat d’État à la Jeunesse et aux Sports s’est achevé  avec la participation de 20 étudiants.

La cérémonie de clôture s’est déroulée en présence de la Vice-présidente du Comité National Olympique Mme Fardousa Moussa Ajjah, du Président de la Fédération Djiboutienne de Judo M. Faysal Abdel Rahman Abdel Raqib, et de l’expert international, M. Hassan Akhlef, ainsi que des représentants du Département des Sports de la Garde Républicaine.

Cette session s’inscrit dans la vision de l’Union de diffuser et de développer le judo en travaillant sur un cadre de travail et de progression aussi bien pour les joueurs, les entraîneurs afin de leurs donner les capacités pour faire une différence dans un proche avenir.

Dans un mot prononcé à cette occasion, le président de la Fédération Djiboutienne de Judo, M. Faysal Abdel Rahman Abdel Raqib, a expliqué que la Fédération de Judo avait mis en place un stage de perfectionnement dispensé par un expert français, Hassan Akhlaf, au profit des entraîneurs avec la participation de dizaines d’entraîneurs et supervisé les cours magistraux du cours, qui est intensif, puisqu’il a duré 8 jours. 

Il a ajouté que tous les coachs ont fait preuve d’une grande compétence lors de cette session. L’expert français qui a assuré la formations a partagé l’enthousiasme des entraineurs qui ont suivi avec un intérêt manifeste cette session de formations qui leur sera bénéfique sur le travail de terrain, notamment pendant la période des compétitions nationales et internationales.

À l’issue de la cérémonie, les participants ont été honorés avec des certificats qui leur ont été distribués. Plus généralement, le judo est un sport de lutte traditionnelle japonais qui s’est développé dans les années 80 du XIXe siècle après JC, et le Dr Jigoro Kano en a établi les règles et les principes de base.

Il y ajouta également les méthodes d’éducation physique, morale et intellectuelle, et annula tous les mouvements dangereux de ce jeu. Il ouvrit également sa première école de judo en 1882 après J.-C., et le mot Judo en japonais signifie le chemin ou la méthode douce.