Créée en 1996 pour remplacer l’Autorité intergouvernementale sur la sécheresse et le développement (IGADD) qui a été fondée en 1986 pour atténuer les effets des graves sécheresses récurrentes et autres catastrophes naturelles qui ont entraîné une famine généralisée, une dégradation écologique et des difficultés économiques dans la région, l’Autorité intergouvernementale pour le développement de la région de l’Afrique de l’Est (IGAD), est lancée lors du 5e Sommet de l’Assemblée des chefs d’État et de gouvernement de l’IGAD qui s’est tenu les 25 et 26 novembre 1996 à Djibouti. Le Sommet a entériné la décision de renforcer la coopération régionale dans trois domaines prioritaires que sont la sécurité alimentaire et la protection de l’environnement, la coopération économique, l’intégration régionale et le développement social, la paix et la sécurité. Zoom sur une organisation qui constitue un pilier économique et sécuritaire dans une région en effervescence.

«Promouvoir la coopération et l’intégration régionales pour ajouter de la valeur aux efforts des États membres pour parvenir à la paix, à la sécurité et à la prospérité» est la mission principale de l’Autorité Intergouvernementale pour le Développement (IGAD). L’initiative émane des chefs d’états des pays de la région Est du continent africain parmi lesquels Djibouti, l’Éthiopie, le Kenya, la Somalie, le Soudan et l’Ouganda qui ont pris des mesures par l’intermédiaire des Nations Unies pour établir le développement et le contrôle de la sécheresse dans leur région.

Le parcours de transformation de la région de l’IGAD est décrit dans le cadre stratégique depuis son premier plan stratégique en 1987. La stratégie régionale de l’IGAD et ses plans de mise en œuvre ont servi de cadre de développement, guidant les domaines prioritaires d’un programme axé sur les problèmes les plus émergents de la région.

L’Autorité intergouvernementale pour le développement (IGAD) est une organisation régionale de l’Afrique de l’Est qui a été créée en 1986 pour promouvoir la coopération économique et politique entre les pays membres. L’IGAD compte actuellement huit pays membres : Djibouti, l’Érythrée, l’Éthiopie, le Kenya, la Somalie, le Soudan du Sud, le Soudan et l’Ouganda. Cette organisation a pour objectif de résoudre les problèmes régionaux et de promouvoir le développement économique et social de ses membres.

Structure organisationnelle

L’IGAD est dirigée par un Conseil des ministres qui est composé des ministres des affaires étrangères des pays membres. Le Conseil des ministres se réunit deux fois par an pour prendre des décisions importantes concernant l’organisation. Le Conseil des ministres élit également un président pour un mandat de deux ans.

L’IGAD est dirigée par un secrétariat qui est basé à Djibouti. Le secrétariat est dirigé par un secrétaire exécutif qui est nommé par le Conseil des ministres pour un mandat de quatre ans.

Le secrétariat a pour tâche de mettre en œuvre les décisions prises par le Conseil des ministres et de coordonner les activités de l’organisation. Le secrétariat est également responsable de la gestion des ressources financières de l’IGAD.

L’IGAD travaille dans plusieurs domaines, notamment la sécurité, le développement économique et social, la coopération régionale et la résolution des conflits. L’organisation a créé plusieurs organes pour travailler dans ces domaines.

Développement économique et social

L’IGAD travaille à promouvoir le développement économique et social dans la région en travaillant à la mise en place d’infrastructures, à la promotion du commerce et de l’investissement, à la gestion des ressources naturelles et à la lutte contre la pauvreté.

L’organisation a créé le Centre de développement de l’IGAD (IGAD-CD) pour coordonner les efforts de développement de la région. L’IGAD-CD travaille à la mise en place d’infrastructures régionales telles que les routes, les chemins de fer et les ports pour faciliter le commerce et les échanges économiques entre les pays membres.

Coopération régionale

L’IGAD travaille à promouvoir la coopération régionale entre les pays membres en travaillant à la mise en place des infrastructures régionales, à la coordination des politiques économiques et à la promotion de la mobilité des personnes et des biens.

L’organisation a créé le Conseil intergouvernemental pour les chemins de fer d’Afrique de l’Est (CICF) pour coordonner les efforts de développement des chemins de fer de la région. Le CICF travaille à la mise en place d’un réseau de chemins de fer régionaux pour faciliter le commerce et les échanges économiques entre les pays membres.

Résolution des conflits et sécurité

L’IGAD travaille à promouvoir la sécurité et la stabilité dans la région en travaillant à la prévention et à la résolution des conflits, à la lutte contre le terrorisme et à la promotion de la sécurité alimentaire.

L’organisation a créé le Centre de coordination des mesures de confiance et de sécurité (CCMS) pour faciliter la communication et la coopération entre les forces armées des pays membres. Le CCMS organise des exercices militaires conjoints et des formations pour renforcer les capacités des forces armées de la région.

L’IGAD travaille à la résolution des conflits dans la région en travaillant à la prévention des conflits, à la médiation et à la réconciliation.

L’organisation a créé le Groupe de médiation de l’IGAD pour aider à résoudre les conflits dans la région. Le groupe a travaillé à la résolution des conflits en Somalie, au Soudan du Sud et actuellement au Soudan.

Djibouti, un pivot central dans le processus de mise en place d’une paix durable dans la région de l’IGAD

Djibouti joue un rôle crucial dans la promotion de la paix et de la stabilité dans la région de l’IGAD (Autorité intergouvernementale pour le développement). En tant que membre fondateur de l’IGAD, Djibouti a travaillé activement avec les autres États membres pour faciliter les négociations de paix et les accords de cessez-le-feu dans les zones de conflit de la région, notamment en Somalie, au Soudan, au Soudan du Sud et dans la région de la Corne de l’Afrique.

Dans l’ensemble, le rôle de Djibouti dans le processus de mise en place d’une paix durable dans la région de l’IGAD est crucial et mérite une attention continue de la part de la communauté internationale.

Djibouti joue un rôle important dans la promotion de la paix et de la sécurité dans la région de l’IGAD (Autorité intergouvernementale pour le développement). En tant que membre fondateur de l’IGAD, Djibouti a travaillé avec d’autres États membres pour résoudre les conflits et créer des conditions propices à un développement durable.

Djibouti a travaillé à renforcer la coopération économique et politique entre les pays membres de l’IGAD, afin de promouvoir la stabilité et la prospérité dans la région.

Malgré les défis persistants, Djibouti continue de jouer un rôle important dans le processus de mise en place d’une paix durable dans la région de l’IGAD.

L’IGAD est confrontée à plusieurs défis, notamment la pauvreté, les conflits armés, les catastrophes naturelles et les défis environnementaux.

La pauvreté est un problème majeur dans la région de l’IGAD, où la majorité de la population vit en dessous du seuil de pauvreté. Les conflits armés dans la région ont également entravé le développement économique et social de la région.

Les catastrophes naturelles telles que les sécheresses, les inondations et les épidémies ont également causé des pertes économiques et des pertes en vies humaines dans la région de l’IGAD. Les défis environnementaux tels que la désertification, la déforestation et la pollution ont également eu un impact négatif sur la région.

L’IGAD est une organisation régionale importante en Afrique de l’Est qui travaille à promouvoir la coopération économique et politique entre les pays membres. L’organisation a créé plusieurs organes pour travailler dans les domaines de la sécurité, du développement économique et social, de la coopération régionale et de la résolution des conflits.

Malgré les défis persistants, l’IGAD continue de travailler à la promotion de la paix, de la sécurité et du développement économique et social dans la région.

Une région géographiquement présentant des inégalités naturelles

La région de l’IGAD s’étend sur une superficie de 5,2 millions de km2 qui comprend les pays de Djibouti, de l’Éthiopie, du Kenya, de la Somalie, du Soudan du Sud, du Soudan et de l’Ouganda. La région compte environ 6960 km de côtes avec l’océan Indien, le golfe d’Aden, le golfe de Tadjourah et la mer Rouge. Aussi, la région de l’IGAD a un total de 6910 Km de frontières internationales avec l’Egypte, la Libye, le Tchad, la République Centrafricaine, la République Démocratique du Congo, le Rwanda et la Tanzanie.

Environ 70 % de la région de l’IGAD est constituée de terres arides et semi-arides (ASAL), qui reçoivent moins de 600 mm de pluie par an. Le reste de la région présente une grande variété de climats et de paysages, notamment des hautes terres fraîches, des zones marécageuses, des forêts tropicales humides et d’autres caractéristiques typiques d’une région équatoriale. En outre, la région possède divers écosystèmes et zones agro-écologiques à différentes altitudes allant de 150 mètres au-dessous du niveau de la mer (Dalul) à environ 4600 mètres au-dessus du niveau de la mer (Mont Kenya).

La dégradation des terres et de l’environnement sont les menaces les plus graves pour la région car elles affectent sa production agricole et sa croissance économique. Une telle dégradation contribue non seulement à l’insécurité alimentaire, à la famine et à la pauvreté, mais peut également alimenter des tensions sociales, économiques et politiques qui peuvent provoquer des conflits, une pauvreté et une misère plus larges.

La gestion durable des ressources naturelles est donc essentielle si les États membres de l’IGAD veulent parvenir au développement durable, à l’éradication de la pauvreté, à la paix et à la sécurité. Cela est particulièrement vrai pour les ressources naturelles transfrontalières, telles que les ressources en eau de surface et souterraines.

Un taux de croissance démographique élevé

La région de l’IGAD a une population de plus de 230 millions de personnes caractérisée par des taux de croissance démographique naturelle élevés. La densité moyenne de la population est d’environ 30 personnes par km2. Les variations de la densité de population entre les pays de l’IGAD sont importantes, allant de 14,5 personnes par km2 en Somalie à plus de 95 personnes par km2 en Ouganda. Ces variations sont encore plus prononcées entre les différentes zones écologiques. Par exemple, dans la région de l’IGAD, il y a des déserts où presque personne ne vit, et inversement il y a des zones rurales avec de fortes populations de plus de 600 personnes vivant sur un km2. De même, les densités urbaines sont assez élevées, par exemple à Nairobi où il y a 4 509 personnes/km2 et plus encore à Addis-Abeba à 5 165 personnes/km2. Cependant, la structure démographique par âge montre qu’environ 50 pour cent de la population sont des jeunes, ce qui offre une bonne opportunité de croissance économique continue, si les jeunes bénéficient d’une éducation et d’une formation appropriées.

Les problèmes socio-économiques et environnementaux dans les centres urbains en croissance constante constituent un défi permanent et représentent une menace très réelle pour la paix et la stabilité dans certains pays de la région de l’IGAD.

Une économique en croissance

La région de l’IGAD (Autorité intergouvernementale pour le développement) est composée de huit pays de l’Afrique de l’Est, à savoir Djibouti, l’Érythrée, l’Éthiopie, le Kenya, la Somalie, le Soudan, le Soudan du Sud et l’Ouganda. La région a connu une croissance économique rapide au cours des dernières années, grâce à une combinaison de facteurs tels que des réformes économiques, une augmentation des investissements étrangers, des politiques commerciales favorables et des avancées technologiques. Dans cet article, nous examinerons en détail les facteurs qui ont contribué au développement économique de la région de l’IGAD.

Les réformes économiques ont été l’une des principales raisons du développement économique de la région de l’IGAD. De nombreux pays de la région ont mis en œuvre des réformes économiques visant à améliorer leur environnement des affaires et à attirer des investissements étrangers. Par exemple, l’Éthiopie a lancé une série de réformes économiques en 2018, visant à libéraliser son économie et à encourager les investissements étrangers. Ces réformes ont permis à l’Éthiopie d’attirer des investissements étrangers importants dans des secteurs tels que les télécommunications, les transports et l’énergie.

De plus, les politiques commerciales favorables ont également contribué au développement économique de la région de l’IGAD. Les pays de la région ont travaillé ensemble pour améliorer leur intégration économique et ont signé plusieurs accords commerciaux qui ont facilité le commerce entre les pays de la région. Par exemple, le Kenya est membre de la Communauté d’Afrique de l’Est (CAE), qui est un marché commun de six pays de l’Afrique de l’Est. Ce marché commun a permis aux pays membres de la CAE de bénéficier de tarifs douaniers préférentiels et d’une plus grande facilitation du commerce.

En outre, les avancées technologiques ont également joué un rôle important dans le développement économique de la région de l’IGAD. L’augmentation de l’accès à Internet et l’adoption de technologies de pointe ont permis à de nombreuses entreprises de la région de s’adapter aux exigences du marché mondial. Enfin, l’augmentation des investissements étrangers a également contribué au développement économique de la région de l’IGAD. Les investissements étrangers ont permis aux pays de la région de bénéficier de transferts de connaissances, de technologies et de compétences, ainsi que de financements pour des projets d’infrastructures. Par exemple, Djibouti a connu une augmentation significative des investissements étrangers dans des projets tels que la construction de ports et de routes, qui ont contribué à stimuler la croissance économique du pays.

Cependant, malgré ces avancées économiques, la région de l’IGAD est confrontée à de nombreux défis. L’un des principaux défis est la faible diversification économique, avec une dépendance excessive de certains pays de la région sur un seul produit d’exportation ou un seul secteur économique. Par exemple, le Soudan du Sud est principalement dépendant des exportations de pétrole, ce qui rend son économie vulnérable aux fluctuations des prix mondiaux du pétrole.

De plus, la région de l’IGAD est confrontée à des défis en matière de sécurité, notamment des conflits armés et des tensions politiques dans certains pays de la région.

Ces conflits ont un impact négatif sur l’environnement des affaires et sur la capacité des pays à attirer des investissements étrangers.

En conclusion, la région de l’IGAD a connu une croissance économique rapide au cours des dernières années, grâce à une combinaison de réformes économiques, de politiques commerciales favorables, d’avancées technologiques et d’investissements étrangers. Cependant, la région est confrontée à des défis tels que la faible diversification économique et les conflits armés, qui nécessitent une attention continue de la part des gouvernements et des partenaires de développement pour assurer une croissance économique durable et inclusive dans la région.

Des perspectives d’avenir prometteuses

L’IGAD (Autorité intergouvernementale pour le développement) est une organisation régionale qui vise à promouvoir la coopération économique, politique et sociale entre les États membres de la Corne de l’Afrique. Fondée en 1986, l’IGAD a pour objectif de renforcer la stabilité et la sécurité dans la région, de stimuler le développement économique et social et de promouvoir l’intégration régionale. Dans cet article, nous allons examiner les perspectives d’avenir de l’IGAD, en mettant l’accent sur les défis auxquels elle est confrontée et les opportunités qu’elle peut saisir pour réaliser ses objectifs.

Les défis auxquels est confrontée l’IGAD

L’IGAD est confrontée à de nombreux défis qui entravent sa capacité à remplir son mandat. L’un des principaux défis est le conflit dans la région, qui a persisté pendant des décennies. Les conflits entre l’Érythrée et l’Éthiopie, la Somalie et le Somaliland, et le Soudan et le Soudan du Sud ont contribué à l’instabilité et à l’insécurité dans la région. Ces conflits ont également entravé le développement économique et social, en déplacant des populations, en perturbant les échanges commerciaux et en créant des tensions entre les communautés.

Un autre défi majeur pour l’IGAD est la pauvreté et le sous-développement économique dans la région. La plupart des pays membres de l’IGAD sont parmi les plus pauvres du monde, avec des taux de chômage élevés, une faible productivité agricole et un accès limité aux marchés internationaux. La pauvreté est exacerbée par les conflits et l’instabilité, ce qui rend difficile la réalisation des objectifs de développement économique et social.

Enfin, l’IGAD est confrontée à des défis institutionnels, y compris le manque de ressources financières et humaines pour répondre aux besoins de ses membres. Les capacités institutionnelles des États membres sont également limitées, ce qui entrave la mise en œuvre des politiques et des programmes régionaux. Il est donc essentiel que l’IGAD renforce ses capacités institutionnelles pour améliorer son efficacité.

Les opportunités pour l’IGAD

Malgré les défis auxquels elle est confrontée, l’IGAD dispose de nombreuses opportunités pour réaliser ses objectifs de développement régional. L’une des principales opportunités est la coopération régionale entre les États membres de l’IGAD. La coopération peut aider à résoudre les conflits, à stimuler le développement économique et à renforcer la sécurité dans la région. L’IGAD peut faciliter cette coopération en encourageant le dialogue entre les États membres et en facilitant les échanges commerciaux et culturels.

Un autre avantage pour l’IGAD est l’augmentation de l’investissement étranger dans la région. La Corne de l’Afrique est riche en ressources naturelles, y compris le pétrole, le gaz, les minéraux et les terres arables. L’IGAD peut encourager l’investissement étranger en fournissant un environnement favorable aux affaires, en améliorant l’infrastructure régionale et en créant des zones économiques spéciales pour attirer les investissements. Enfin, l’IGAD peut bénéficier de la coopération avec d’autres organisations régionales et internationales. L’Union africaine, la Banque africaine de développement et d’autres organisations peuvent fournir une aide financière et technique à l’IGAD pour renforcer ses capacités institutionnelles et mettre en œuvre des programmes de développement économique et social.

Résolution des conflits une priorité pour l’IGAD

Pour réaliser ses objectifs de développement régional, l’IGAD doit se concentrer sur plusieurs priorités clés. Tout d’abord, il est essentiel que l’IGAD travaille à résoudre les conflits dans la région. Les conflits entravent le développement économique et social et créent des tensions entre les communautés. L’IGAD doit jouer un rôle actif en encourageant le dialogue entre les États membres et en facilitant la résolution des conflits.

Deuxièmement, l’IGAD doit travailler à stimuler le développement économique dans la région. Cela peut être réalisé en améliorant l’infrastructure régionale, en créant des zones économiques spéciales pour attirer les investissements et en favorisant le commerce régional. L’IGAD peut également travailler avec les États membres pour améliorer la productivité agricole et promouvoir l’industrialisation dans la région.

Troisièmement, l’IGAD doit renforcer ses capacités institutionnelles pour améliorer son efficacité. Cela peut être réalisé en recrutant un personnel qualifié, en améliorant les systèmes de gestion financière et en renforçant la coordination entre les États membres. L’IGAD peut également travailler avec les organisations régionales et internationales pour renforcer ses capacités institutionnelles.

Enfin, l’IGAD doit renforcer la coopération régionale entre les États membres.

Cela peut être réalisé en encourageant le dialogue entre les États membres, en facilitant les échanges commerciaux et culturels et en renforçant les liens entre les communautés. L’IGAD peut également travailler avec d’autres organisations régionales et internationales pour renforcer la coopération régionale.

Bref l’IGAD a le potentiel de réaliser des progrès significatifs dans le développement régional, en dépit des nombreux défis auxquels elle est confrontée. En travaillant à résoudre les conflits, à stimuler le développement économique, à renforcer ses capacités institutionnelles et à renforcer la coopération régionale, l’IGAD peut jouer un rôle clé dans la promotion de la stabilité, de la sécurité et du développement dans la Corne de l’Afrique. Il est essentiel que l’IGAD collabore avec les États membres, les organisations régionales et internationales et les partenaires au développement pour réaliser son potentiel et pour répondre aux besoins et aux aspirations des peuples de la région.

Rachid Bayleh