Un bébé abandonné au pavillon de pédiatrie de Peltier
Il y a quelques jours, les policiers du commissariat du Héron sont informés par un médecin de l’hôpital Peltier qu’un enfant de sept mois a été retrouvé dans le couloir du hall de la pédiatrie. Une fois sur les lieux, les policiers se retrouvent avec un petit garçon en bonne santé et facétieux. La joie de vivre du bambin est contagieuse parmi les adultes présents sur les lieux. Lesquels sont inquiets de voir un enfant en bas âge tout seul. Selon les conclusions du pédiatre, l’enfant ne présente aucune complication sanitaire. Une enquête de voisinage est effectuée par les policiers du Héron, et aucune nouvelle de la mère de l’enfant. Cette dernière était entrée au centre hospitalier vers 13H en prétextant le dépôt des gamelles contenant le déjeuner d’une amie dont l’enfant était hospitalisé au pavillon de pédiatrie de Peltier. Quelques heures plus tard, une jeune femme se présente de manière inopinée au commissariat de police, sis au Héron. Elle déclare être la maman de l’enfant abandonné. Lors de l’interrogatoire, la jeune mère, âgée de 25 ans, impute l’abandon de son bébé au différend qui l’oppose au père de l’enfant, mais qu’elle ne voulait pas le laisser sur la voie publique. Prise de remord, elle a souhaité récupéré son bébé. Les policiers du commissariat du Héron ont finalement placé la maman et son enfant auprès d’une famille proche de la jeune femme.
Violée par ses amis…
En début de semaine, une maman accompagnée de sa fille se présente à un poste de police en déclarant que cette dernière âgée de 16 ans a été victime d’un viol en bande collectif. En effet, l’adolescente se trouvait avec 2 garçons, qui l’auraient conduite de force vers un autre plus âgé qui l’attendait dans une maison inhabitée. Ces amis lui auraient tendu un piège et cette dernière ne savait pas qu’ils avaient déjà tout planifié. Ils étaient voisins depuis de longues années. Lors de leurs auditions, les prédateurs sexuels avouent les faits. Les prévenus ont été déférés devant le parquet de justice pour viol et complicité de viol. Après ouverture d’une information judiciaire auprès du juge d’instruction, les suspects on été finalement placés sous mandat de dépôt derrière les barreaux de la prison civile de Gabode.
N. Kadassiya