Quand une trahison de copines mène au viol de leur amie à Layableh
La semaine dernière, une famille se présente au commissariat de Hodan, accompagnée d’une jeune fille de 16 ans qui déclare avoir été victime d’un viol. Quelques jours plutôt, elle et ses amies avaient décidé de fêter l’anniversaire de l’une d’entre elles dans un restaurant situé sur la Corniche. Vers 01H dans la nuit, la bande de copines se dirigent vers la place Mahamoud Harbi pour prendre le bus et continuer la soirée. La jeune victime est tout d’abord réticente, mais elle finit par céder sous la pression de ses amies. Une fois arrivées à Layableh, la jeune fille est conduite par ses copines auprès d’un jeune homme, qu’elle connaissait et qui était proche de son cercle d’amis. Une fois ensemble, les quatre jeunes filles les laissent ensemble et s’en vont. Le jeune homme agresse physiquement la victime. Les parents déposent donc plainte auprès des policiers du commissariat de Hodan pour viol. Une réquisition auprès d’une personne qualifiée est effectuée. Dans ce cas, il s’agit d’un gynécologue. Lequel confirme la thèse du viol. Les jeunes filles et le mis en cause sont interpellés et placés en garde. Une ouverture d’une information judiciaire est effectuée par le procureur. A la suite de leurs interrogatoires, les amies de la victime seront relâchées et le jeune homme sera placé sous mandat de dépôt derrière la prison civile de Gabode.
Saisie de 200 sacs de sucre dérobés au port de Doraleh
Dans la journée du 15 décembre 2018, l’antenne de police du commissariat de Doraleh a procédé à l’interpellation à la barrière d’entrée du port de Doraleh, (SGTD) d’un chauffeur d’un camion remorque qui a dérobé une quantité importante de sucres. Environ 200 sacs ont été volés. Les premières investigations ont permis la saisie de la marchandise qui était stockée dans un terrain inhabité situé au quartier Charaf.
Une enquête menée par la suite a permis l’arrestation de deux complices qui n’étaient autres que le gardien du site et un pointeur. Quelques jours plus tard, les trois individus ont été traduits devant la justice et écroués à la prison civile de Gabode.
L’appât du gain facile …
En début de semaine, le propriétaire d’un entrepôt dépose plainte contre X au commissariat du Héron pour vol par effraction d’une somme de 800 000 FDJ. Suite au dépôt de la plainte, les officiers de police judiciaire du Héron se déplacent sur les lieux pour procéder aux premières constations. Les premiers indices de l’enquête permettent de déterminer que le casse a été maquillé en vol. Et les premiers à être suspectés sont les employés de l’entrepôt. Les interrogatoires des employés et le faisceau de preuves recueillies par les policiers du commissariat du Héron lors de l’enquête de voisinage permettent d’orienter l’investigation vers le responsable de l’entrepôt. En effet, ce dernier jouait la victime devant le propriétaire des lieux. Il a tenté de nier les faits qui lui étaient reprochés. Confronté aux preuves recueillies par les policiers, il est passé aux aveux et indiqué l’endroit où il a caché l’argent volé. Le propriétaire de l’entrepôt, heureux d’avoir récupérer son argent, a finalement décidé de retirer sa plainte.
N. Kadassiya