Le Président de la République, Son Excellence Ismail Omar Guelleh, a dimanche soir dernier , dans un entretien téléphonique, échangé les meilleurs vœux d’Aid El-Fitr avec le Roi du Royaume d’Arabie saoudite et Gardien des Deux Lieux Saints, Sa Majesté Salman Bin Aboulaziz Al Saoud. Outre des vœux de santé et de bonheur qu’ils se sont mutuellement souhaités, le Président Guelleh et le Gardien des Deux Lieux Saints ont, au cours de cet échange téléphonique, formé chacun aussi des vœux davantage de progrès, de prospérité et d’épanouissement aux peuples djiboutien et du Royaume frère d’Arabie saoudite. Les vœux du Roi Salman au Chef de l’Etat djiboutien s’inscrit dans le droit fil de souhaits similaires affluant ces jours-ci à la Présidence de la République, à l’occasion de l’Aid El-Fitr.
L’Emir de l’Etat du Koweït, Cheick Nawaf Al Ahmad Al Sabah, le Roi du Royaume de Bahreïn, Sa Majesté Cheick Hamad Bin Issa Al Khalifa, le Prince Héritier de l’Arabie saoudite, Son Altesse Royal Mohamed Bin Salman Bin Abdoulaziz, le Prince héritier de l’Etat du Koweït, Son Altesse Royal Cheick Michâl Al Ahmed Al Jaber Al Sabah et le Premier Ministre koweitien, Cheick Sabah Khaled Al-Hamad Al Sabah, font partie de dirigeants ayant dernièrement fait parvenir de messages de même nature au Chef de l’Etat. Plusieurs de ces télégrammes en provenance de dirigeants musulmans forment à notre pays « l’espoir d’une fête réussie, source de joie, de purification d’âme, de prière et de louange à Dieu Tout Puissant. » De son côté, le Président de la République, Son Excellence Ismail Omar Guelleh avait lui aussi, à l’avènement de l’Aid Al-Fitr, adressé des messages de meilleurs vœux à ses homologues Chefs d’Etat et de Gouvernement de Pays frères arabes et musulmans. Dans ces télégrammes de vœux, il avait souhaité « succès et réussite » à chacun de ses pairs musulmans et, formé l’espoir « davantage de prospérité et d’épanouissement à leurs peuples respectifs. »
Le Chef d’Etat djiboutien avait également saisi l’occasion de ces messages pour « implorer le Miséricordieux à favoriser la coexistence pacifique des musulmans avec les autres composantes culturelles et religieuses du monde. » Et « apporter ainsi sa bénédiction à une évolution radicale des mentalités afin que les différences de conviction et de culte soient davantage perçues comme des signes de complémentarité et non comme des vecteurs de tension. »