Al Rahma  : un hôpital qui porte bien son nom

L’organisation non gouvernementale (ONG) koweïtienne de solidarité internationale, dénommée Al Rahma, a eu le mérite d’édifier un orphelinat qui accueille un bon nombre de jeunes issus des milieux défavorisés de Balbala qui se voient dispenser des enseignements fondamentaux en langue arabe depuis le primaire jusqu’au secondaire. Un hôpital aussi qui propose des offres de soins, accessibles au plus grand nombre des patients nationaux. La structure hospitalière Al Rahma vient de renforcer les capacités de son plateau technique. Avec l’ouverture des portes de son centre de chirurgie cardiaque, cérébrale et nerveuse et de cathétérisme cardiaque qui est le premier du genre sous les cieux djiboutiens.

L’image. Le Président de la République aux côtés des officiels koweïtiens reflétait la densité et la qualité des relations bilatérales djibouto-koweïtiennes lors de la cérémonie inaugurale du centre de chirurgie cardiaque, cérébrale et nerveuse et de cathétérisme cardiaque de l’hôpital Al Rahma, sis dans la commune de Balbala.

L’événement s’y est déroulé lundi 24 juin dernier. Il a précédé la pose de la première pierre d’une cité résidentielle au PK13, elle aussi placée sous le haut patronage du Président de la République, dans la matinée de cette même journée. Le rappel vise à dissiper toute confusion dans les esprits de nos lecteurs. Comme cela a été le cas avec l’intitulé mal assorti avec l’information succincte et relative à ce sujet d’actualité qui est parue dans la dernière page de notre édition d’hier.

Nous revenons donc plus en détail sur cet événement qui met en relief les contributions conséquentes de l’organisation non gouvernementale(ONG) Al Rahma et des autorités du Koweït au développement socioéconomique des différentes composantes de la population de Djibouti.

En effet, cette ONG koweïtienne de solidarité internationale porte bien son nom. Elle a eu le mérite d’édifier un orphelinat qui accueille un bon nombre de jeunes issus des milieux défavorisés de Balbala qui se voient dispenser des enseignements fondamentaux en langue arabe depuis le primaire jusqu’au secondaire. Un hôpital aussi qui propose des offres de soins, accessibles au plus grand nombre de patients nationaux. 

L’hôpital Al Rahma vient de renforcer les capacités de son plateau technique. Avec l’ouverture des portes de son centre de chirurgie cardiaque, cérébrale et nerveuse et de cathétérisme cardiaque qui est le premier du genre sous les cieux djiboutiens.

Le détail en dit long sur l’importance de l’événement qui a été parrainé par le Président de la République, Ismaïl Omar Guelleh, et qui a vu la participation des personnalités djiboutiennes et koweïtiennes. Citons notamment le Premier ministre, Abdoulkader Kamil Mohamed, le président de l’Assemblée nationale, Mohamed Ali Houmed, le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Mahmoud Ali Youssouf, le ministre de la Santé, Mohamed Warsama Dirieh, l’ambassadeur du Koweït à Djibouti, Youssouf Hussein Al Qabandi, le chef de la délégation de l’ONG koweïtienne Al Rahma, Rachid Salem Al Omari, le directeur régional de l’ONG Al Rahma à Djibouti, Abdoul-Ghani Al Qurashi, et le directeur de l’hôpital éponyme, Mohammed Al Charkawi. 

Après la traditionnelle coupure du ruban inaugural, le chef de l’Etat a effectué des immersions successives dans plusieurs installations du centre de chirurgie cardiaque, cérébrale et nerveuse et de cathétérisme cardiaque de l’hôpital Al Rahma. Ce faisant, le prestigieux parrain a constaté de visu les équipements médicaux dernier cri, mis à la disposition de ce centre de soins spécialisés.

Sans doute, les plus heureux en seront les patients nécessiteux d’interventions chirurgicales au cœur et au cerveau ainsi que des opérations inhérentes au cathétérisme cardiaque.

C’est tout à l’honneur des dirigeants de l’ONG koweïtienne Al Rahma et des autorités du Koweït qui soutiennent les efforts du gouvernement djiboutien, tournés vers l’amélioration de la qualité des offres de soins et d’enseignements pour ne citer que celles-là sur toute l’étendue du territoire national.