Si depuis les bancs de l’Ecole l’homme venue d’ailleurs nous inculquait ces valeurs et ces élites dont notamment les Montesquieu, Voltaires ou Jean Jacques Rousseaux, notre Nation n’a rien à envier après plus de quatre décennies et pourrait se vanter de nos prodiges nationaux épris d’un intellectualisme hors pairs combinée par un sens de la sagesse sans commune mesure justifiant notre spécificité et dont parmi eux Feu Zeiid Ali Dirieh Egal.

S’élançant d’un pas lent et menaçant le Molière National défilait derrière sa troupe artistique dont leur ”sobriquet” de ”Harbi” n’est pas sans coïncidence.

Des mélodies pour l”Indépendance Day” ou nous pouvions nullement outrepasser l’authentique ”Bishentaayni Maa Junba baa” aux innombrables chefs d’œuvres des ” Samatalis” ou encore les fameuses pièces de théâtres pour dialoguer entre Djiboutiens lors de nos maigres mésententes, Feu Zeiid Ali Dirieh Egal fut et restera dans nos mémoires par ces métaphores et ces mélodies qui incarnent bel et bien aujourd’hui la fierté de toute une Nation.

Aussi par ces modestes travaux d’écritures justifiée par un élan nostalgique mais également par un sentiment d’espoir pour nos jeunes générations, il est plus inéluctable que dorénavant nos programmes d’instructions surtout du domaine historique émettent à nos jeunes collégiens le savoir d’apprendre les noms des gens qui ont bâti cette Nation dont nous sommes fier aujourd’hui et en premier plan notre père de la Nation Feu Hassan Gouled Aptidon mais encore le bâtisseur du Développement l’actuel Chef de l’Etat Son Excellence Monsieur Ismail Omar Guellleh et par une note culturelle le combattant du Joug du Verbe Feu Zeiid Ali Dirieh Egal.

Enfin pour clore ma lancée il va de soi de par les préceptes de notre sainte religion de ne pas étaler sur les louanges mais de prier à l’ensemble de nos héros et patriotes.

Aden Chireh Wais