Le ministère de la femme et de la famille en collaboration avec tous les ministères sectoriels et l’appui de l’ANSIE a organisé la semaine dernière  au palais du peuple la cérémonie de colloque national sur les méfaits du cyberespace auprès des enfants et adolescents.

Cet événement de colloque national a été présidé par la ministre de la femme et de la famille Mme Mouna Osman Aden et a vu la participation du ministre de budget M. Isman Ibrahim Roble, du ministre de l’éducation  nationale et de la formation professionnelle M. Moustapha Mohamed Mahamoud, le directeur General de l’ANSIE M. Moustapha Mohamed Ismaël, la représentante de FNUAP  Mm Aicha Ibrahim,  la secrétaire adjointe de l’UNFD Mm Roukia, plusieurs responsables  des ministères sectoriels, les jeunes étudiants de l’université et la société civile et un parterre d’invités.

Cette sensibilisation sur les méfaits de l’internet a pour objectif de mettre en lumière une information claire et rassurante sur les enjeux entourant le cyberespace, tout en offrant des outils concrets pour en faire un espace où les enfants peuvent être en sécurité. Il s’agissait d’organiser des séances afin de mettre en lumière des informations claire et rassurante sur les enjeux entourant le cyberespace, tout en offrant des outils concrets pour en faire un espace où les enfants peuvent être en sécurité. Cette thématique étant transversale, a réuni tous les ministères sectoriels Dans cette initiative, les intervenants venus des différents ministères font front commun pour apporter aux plus grands nombres de jeunes sur tout le territoire sur le danger de l’internet, les réseaux sociaux. Cette initiative est un démarrage dans le cadre de renforcement de la culture numérique.

Dans une brève allocution faite sur place, la ministre de la femme et de la famille Mme Mouna Osman Aden a indiqué que «que les sociaux sont autant utiles qu’ils peuvent être nocifs nous entendons dépasser le débat classique sur les aspects positifs et négatifs de ces réseaux sociaux pour nous pencher de façonsprioritaire sur les meilleurs façons d’en faire profiter nos enfants et adolescents. Ces plateformes virtuelles sont un  fait de civilisations. Ils font désormais partie de notre quotidien et participent de la transformation des rapports humains dans la vie réelle.

Nous aurions tort en effet, en tant que quatrième pays le plus connecté en Afrique, de ne pas développer les instruments du numérique. Son excellence le président de la république Ismail Omar Guelleh avait vu juste en créant un ministère  numérique et en inscrivant la connectivité comme l’un des trois piliers essentiels du plan national de développement » a-t-indiqué  en substance.

Mohamed Chakib