Les Djiboutiens ont célébré mardi 4 juin dernier l’Aïd El-Fitr dans la liesse et la convivialité. La fête marquait la fin du Ramadan, un mois de jeûne et de privations. Les festivités commémoratives ont débuté aux première heures matinales de cette journée par la grande prière collective qui s’est tenue sur les différents sites habituels de la capitale comme celui de Djama Aouled, au plateau du Serpent, ou celui jouxtant la caserne des sapeurs-pompiers, sis au quartier de Cheick Moussa dans la commune de Balbala.

A l’instar du reste du monde musulman, Djibouti a célébré mardi 04 juin dernier l’Aïd El Fitr. C’est dans un climat de liesse populaire que les Djiboutiens ont commémoré cette fête musulmane. Laquelle marquait la fin du Ramadan, un mois de jeûne et de privations. Les festivités commémoratives ont débuté aux première heures matinales de cette journée par la grande prière collective qui s’est tenue sur les différents sites habituels de la capitale comme celui de Djama Aouled, au plateau du Serpent, ou celui jouxtant la caserne des sapeurs-pompiers, sis au quartier de Cheick Moussa dans la commune de Balbala.

Le chef de l’Etat, Ismaïl Omar Guelleh, a pris part à la grande prière de l’Aïd sur le terrain de Djama Aouled dans la commune de Ras Dika. Et ce, faut-il préciser, aux côtés des membres du gouvernement, des parlementaires, et de nombreux anonymes.  A l’issue des moments de recueillement collectif, un sentiment d’optimisme prédominait chez les femmes et hommes, jeunes et vieux croisés ici et là.  Les unes et les autres se disaient confiants en des lendemains meilleurs de notre devenir commun.

Avec leurs habits neufs, les enfants n’étaient pas en reste. Filles et garçons affichaient des sourires radieux. Sous bonne escorte parentale, nos chères petites têtes bouclées ont pris d’assaut les balançoires dressées sur les trottoirs des rues de la capitale et des chefs-lieux des régions de l’intérieur.  Comme le veut la tradition, la fête a été également marquée par des visites entre les familles, les proches, les voisins, les amis.

Notons que l’Aïd El-Fitr, communément appelée “Aïd es-Seghir”, est célébrée tous les 29 ou 30 jours suivant l’avènement du mois de ramadan, selon les années.

Etant donné que la date de la commémoration de l’Aïd El Fitr obéit au calendrier musulman qui est plutôt lunaire, un décalage de 10, 11 ou 12 jours est observé chaque année par rapport au calendrier grégorien.