Le Centre d’Action Sociale et d’Autonomisation des femmes (CASAF) a organisé le mardi 15 septembre dernier, un atelier de sensibilisation et d’information sur les différentes formations professionnelles dispensées par cette école de seconde chance pour les jeunes filles déscolarisées ou non scolarisées de la capitale. Financé par le Centre de Leadership et de l’Entrepreneuriat (CLE), l’événement a réuni dans la grande salle de conférence du CASAF, plusieurs cadres du ministère de la femme et de la famille dont la directrice du centre, Neima Yonis Hoch et les porte-voix d’une vingtaine d’associations féminines de la commune de Balbala. 

Placé sous la tutelle du ministère de la Femme et de la Famille, le centre d’action sociale et d’autonomisation des femmes (CASAF), sis à Balbala, est une école de deuxième chance qui a pour vocation d’offrir des formations professionnelles axées dans les domaines de la cuisine, de la coiffure et de la couture, à des jeunes filles et femmes déscolarisées.

Pour orienter les jeunes filles formées dans ce centre, dans le secteur privé informel, ajouter les anciennes formations dispensées, des modules d’entrepreneuriat et des cours en français et en anglais, visant à améliorer leurs expressions de deux langues requises dans ce domaine s’avère donc nécessaire aux responsables du CASAF.

En vue de vulgariser ces nouveaux modules, la directrice du centre d’aide sociale et d’autonomisation des femmes (CASAF), Neima Yonis Hoch a réuni le mardi 15 septembre dernier dans la salle de conférence de son centre, les porte-voix d’une vingtaine d’associations féminines de la commune de Balbala.

Plusieurs hauts cadres du ministère de la femme et de la famille, parmi lesquelles la conseillère technique, Nabila Salman Hassan, la direction de la promotion du genre, Yasmine Abdoulmagid, et la cheffe de Service des affaires juridiques, Araksan Ali Ahmed ont participé à cet atelier de sensibilisation et d’information. Dans une présentation faite à cette occasion, la directrice du CASAF Mme Neima Yonis Hoch a d’abord rappelé le but de la création de son centre.

Il s’agit selon cette responsable, de mettre à la disposition de la population féminine de la Commune de Balbala un ensemble de services et d’équipements à caractère social, éducatif et économique, permettant d’améliorer non seulement les connaissances et les capacités des femmes et des jeunes filles de cette commune mais également leurs conditions de vie.

Rachid Bayleh