
Le ministre de la Justice et des Affaires pénitentiaires, Moumin Ahmed Cheick, a présidé dimanche 24 mars dernier, dans son cabinet, une réunion relative au cadre légal du climat des affaires à Djibouti.
Le ministre de la Justice et des Affaires pénitentiaires, Moumin Ahmed Cheick, a présidé dimanche 24 mars dernier, dans son cabinet, une réunion relative au cadre légal du climat des affaires à Djibouti.
La séance de travail a vu la participation du représentant-résident de la Banque mondiale, Atou Seck, et des responsables d’institutions publiques concernées par l’amélioration de l’environnement des affaires. La rencontre a permis aux différents intervenants d’examiner la position de notre pays par rapport aux quatre indicateurs légaux qui mesurent la facilité de faire des affaires. Les indicateurs en question sont la protection des investisseurs minoritaires, l’obtention des prêts, l’exécution des contrats, et le règlement de l’insolvabilité.
Au cours des deux années écoulées, Djibouti a entrepris des reformes législatives visant à améliorer son climat des affaires. A raison d’ailleurs puisque son classement au Doing Business est passé de la 154ème place en 2018 à la 99ème place en 2019.
Loin de se reposer sur ce laurier, les politiques et acteurs institutionnels se concertent avant la venue prochaine des experts de la Banque mondiale qui évaluent chaque année la situation du climat des affaires.
Les uns et les autres comptent propulser la République de Djibouti parmi les 50 meilleures économies du monde pour faire des affaires.