Cette année, la marche du Mont Goda, organisée par le réseau des associations de Randa (R A R), a connu un nouveau tournant. L’initiative a coïncidé avec la célébration de la journée internationale de la femme. Elle a connu un franc succès au regard de la participation féminine massive. Parmi les marcheuses figuraient la vice-présidente de l’UNFD, Hasna Houmed Bilil, la représentante de l’UNICEF à Djibouti, Djanabou Mahondé, des députées, des femmes actives. Se trouvaient à leurs côtés des randonneurs masculins, dont le président de l’Assemblée nationale, Mohamed Ali Houmed, et le secrétaire d’État à la Jeunesse et aux Sports, Hassan Mohamed Kamil.
Les unes et les autres semblaient soudées par une conviction commune, celle que les priorités de l’écologie ne sont pas contradictoires avec celles du féminisme.
Alliant le geste à la parole, les féministes de choc et les progressistes masculins ont procédé à la plantation d’arbres.
Bref, cette action collective vise à restaurer la ceinture verte du Mont Goda.