
A Djibouti, la Semaine Nationale de la Solidarité s’élève comme un pulsar, guidant la nation vers un avenir où l’unité et la solidarité sont les maîtres mots. Cet événement annuel n’est pas seulement un rassemblement ; c’est un cri de ralliement pour une société plus équitable et plus inclusive. Plus précisément un rendez-vous annuel où le gouvernement, guidé par l’impulsion du Président Ismail Omar Guelleh, réaffirme son engagement pour bâtir une Djibouti plus solidaire, inclusive et résiliente. Depuis sa création en 2008, cette semaine n’est pas qu’une simple manifestation de calendrier; non elle est un creuset où se forgent les politiques sociales, un reflet de la vision progressiste d’un pays qui avance main dans la main. Elle est le ciment de l’unité à Djibouti.

Aimer son prochain, c’est l’expression la plus pure de la solidarité, un acte qui transcende la simple charité pour devenir un engagement fondamental envers l’Humanité. L’événement que nous abordons ici, la Semaine Nationale de la Solidarité à Djibouti, dépasse de loin la simple célébration; il est l’essence même de l’espérance et du progrès social. Cet événement s’élève au-delà des festivités pour incarner un espace où l’unité et l’inclusion se matérialisent. Cette exploration philosophique nous mène à questionner la véritable nature de la solidarité dans une nation qui lutte pour l’équité et la dignité de chacun de ses citoyens.
La pauvreté, ce spectre qui hante encore près de 21% de la population djiboutienne, est abordée avec une rigueur inédite par le gouvernement. Le Président de la république son Excellence Ismail Omar Guelleh, lors de l’édition 2024, a souligné que « la pauvreté n’est pas une fatalité, mais un défi qui appelle à des solutions innovantes et collaboratives. »

La réponse du gouvernement est tangible à travers des initiatives telles que les filets sociaux de sécurité, les programmes d’autonomisation économique et les projets de microfinance via les Caisses Populaires d’Épargne et de Crédit (CPEC).
Ces efforts ont permis d’atteindre plus de 200 000 âmes, offrant un filet de sécurité à 70 000 foyers via le Programme Intégré de Transfert Monétaire et de Renforcement du Capital Humain (PITCH).
Le Président de la république son Excellence Ismail Omar Guelleh a fait de la solidarité une pierre angulaire de son action politique, déclarant que « la solidarité n’est pas un simple concept, c’est la colonne vertébrale d’une société qui aspire à l’équité et à l’inclusion. »

Cette semaine n’est qu’un rappel puissant de cette philosophie, un moment où le gouvernement et le peuple se retrouvent pour renforcer les liens sociaux, sensibiliser aux enjeux sociaux, et participer activement à la construction d’une nation plus juste.
Placer le capital humain au premier plan, c’est investir dans l’avenir, cet investissement est une priorité qui dépasse l’ambition politique pour devenir une mission nationale.
« En offrant éducation, formation et opportunités économiques, nous sculptons un avenir où la pauvreté n’a plus sa place », a martelé le Président de la république.

Des programmes comme l’ASERI sont autant de jalons posés sur la voie de l’autonomisation des jeunes et des femmes, leur permettant de s’élever au-dessus des difficultés et de participer activement au développement du pays.
L’Inclusion des Plus Vulnérables est un Engagement Inébranlable dira-t-on, effectivement c’est bien cela. Les discours du Président résonnent avec une conviction profonde concernant la protection des plus vulnérables: « L’autonomisation des femmes est non seulement une urgence sociale mais une stratégie de développement. » ou encore «il ne faut laisser personne de côté». Cette vision se traduit par des actions concrètes, comme des crédits avec zéro intérêt pour les femmes entrepreneures et des kits de démarrage pour les jeunes filles formées en couture. Le gouvernement a également mis en place des guichets sociaux pour identifier et soutenir les populations en marge, renforçant ainsi la résilience face aux aléas économiques et climatiques.
Mes chers amis, chers Lecteurs, La Semaine Nationale de la Solidarité, loin de se résumer à une simple fête de la cohésion, devient un laboratoire d’une évaluation minutieuse, d’un bilan où chaque initiative est examinée avec la précision d’un orfèvre. Ce moment est doublement sacré: il s’agit d’abord de scruter le passé, de passer au peigne fin les politiques sociales déployées, d’en ausculter les moindres détails pour en extraire la quintessence de l’expérience.
Mais ce n’est qu’une facette de cette gemme précieuse. Le second objectif est de dessiner l’avenir, d’envisager des stratégies nouvelles et affûtées pour que l’efficacité soit non plus un idéal mais une réalité palpable.
Chaque année, cette semaine se transforme en un laboratoire d’idée vivant où les initiatives sont disséquées, analysées, et où le gouvernement, dans un exercice de transparence et de rigueur, s’engage dans une autopsie constructive de ses actions. Ce n’est pas un événement éphémère; c’est le cœur battant d’un processus de transformation sociale, dynamique et incessant. Elle nous permet de célébrer les triomphes, certes, mais aussi de reconnaître, avec une humilité rare, les failles et les ombres de nos actions.
La solidarité à Djibouti : une réalité tangible
C’est ainsi que nous apprenons, que nous croisons, que nous nous projetons vers un avenir où la solidarité n’est plus un simple mot d’ordre mais une réalité tangible, un fil doré tissé dans le tissu de chaque vie djiboutienne.
Cette semaine est le miroir dans lequel nous regardons non pour nous admirer, mais pour nous comprendre, pour corriger notre trajectoire vers un horizon où chaque Djiboutien peut dire, avec fierté et vérité, que la solidarité est à la fois son héritage et son avenir. Et que dire du ministère chargé de ce portefeuille, dans ces coulisses, ils sont nombreux ces hommes et ces femmes qui travaillent sans relâche, on les appelle les artisans de l’espoir.
Tous, animés par la vision du Président Ismail Omar Guelleh, sont ceux qui sont derrière chaque sourire épanoui sur le visage d’une mère, chaque lueur d’avenir dans les yeux d’une jeune fille.
Armés de leur détermination, ils sillonnent le pays, porteurs d’une mission qui dépasse les simples politiques publiques: celle de transformer les rêves en réalités. Ils sont les pèlerins d’une cause noble, marchant sur chaque parcelle du territoire pour qu’aucun ne soit oublié.
Chaque programme qu’ils mettent en œuvre, chaque initiative qu’ils soutiennent, est une pierre posée sur le chemin vers une société où la solidarité n’est pas une promesse mais une réalité palpable.
Ils travaillent dans l’ombre, loin des projecteurs, mais leur impact brille comme les rayons du soleil sur les visages de ceux qu’ils aident. Leur travail est une ode à l’entraide, une symphonie pour ainsi dire de compassion où chaque note est une vie touchée, chaque accord, une famille soutenue.
Ils se dévouent à rendre tangible la vision d’un Djibouti où nul ne manque, où chaque citoyen peut se tenir debout, fier et soutenu. Leur mission est de créer un réseau de soutien si fort que même les plus vulnérables peuvent y trouver un refuge, un espoir, une nouvelle chance.
Au ministère des Affaires Sociales, chaque action est un acte de foi envers la vision du chef de l’état, chaque projet est une promesse tenue. Ils sont les mains invisibles qui tissent le tissu social de notre nation, faisant de la solidarité non seulement un mot, mais une réalité vécue, ressentie, profondément humaine. C’est une histoire de dévouement, de sacrifices silencieux, d’une bataille contre la pauvreté avec le cœur. Et, derrière chaque sourire, chaque pas vers l’autonomie, ils sont les héros discrets, ces serviteurs de l’idéal de notre chef d’État, qui travaillent pour que demain soit meilleur pour tous les Djiboutiens. Leur mission pour notre pays est une preuve que la solidarité, bien mise en œuvre, peut changer des vies, une par une, jusqu’à ce que toute la nation en soit illuminée.
Said Mohamed Halato