Le secrétaire général du ministère de l’Habitat de l’Urbanisme et de l’Environnement, Dini Abdallah Omar, a procédé au lancement d’un atelier les politiques et procédures du Fonds pour l’environnement mondial(FEM), mercredi 20 mars dernier au palais du peuple. L’initiative s’est déroulée en présence d’une représentante du FEM, Suzan Waithaka. Elle a regroupé sur place des opérateurs du secteur privé et des acteurs de la société civile. Les uns et les autres étaient appelés à s’imprégner des priorités et des opportunités de financements du FEM.

L’intervention, faite par Mme Suzan Waithaka, les a beaucoup aidés dans ce sens. A l’entendre, le FEM a pour missions de préserver l’environnement, de soutenir les projets de développement durable, et de lutter contre le réchauffement climatique, la pollution des eaux, la régression et la dégradation des sols, la réduction de la couche d’ozone et la persistance des polluants organiques. De tels objectifs onusiens rejoignent l’ambition nationale visant à sauvegarder les écosystèmes terrestres et marins qui sont vitales pour les communautés locales les plus vulnérables.

C’est du moins l’une des conclusions à tirer du dialogue national autour des priorités et des opportunités de financements du FEM. L’exercice devrait permettre aux participants d’améliorer la mobilisation des ressources du FEM et l’exécution des projets environnementaux.

Bref, le MHUE escompte par ce biais la concrétisation des objectifs de l’Agenda 2030.

KI