Une soirée entre filles qui tourne mal

Après une soirée bien arrosée, quatre jeunes filles habitant au Héron se rendent chez leur voisine. L’une d’entre elles, lui réclame une somme de 30 000 fdj que cette dernière lui aurait emprunté quelques mois plus tôt. Des insultes fusent de tous les cotés et une bagarre s’ensuit entre la jeune fille et ses quatre voisines. Les policiers du commissariat du Héron sont saisis par cette affaire et la jeune femme déclare aux policiers que ses assaillantes lui auraient volé un téléphone portable et qu’elles ont aussi cassé un téléviseur à écran plat. Les dommages causés seraient estimées à 180 000fdj. Au cours de l’audience, elles sont sommées de rembourser la totalité de cette somme. L’affaire sera finalement réglée à l’amiable devant le parquet.

Accro aux stupéfiants, elle menace ses parents…

Il y a quelques jours, une mère et un père se rendent au commissariat du Héron pour déposer une plainte contre leur propre fille. Agée de 20 ans, la jeune fille  serait une consommatrice de stupéfiants et d’alcool. Ayant appris cette triste nouvelle, les parents décident d’interdire à leur fille de sortir. Celle-ci, furieuse, menace ses propres parents de mort et casse tout le mobilier de la maison. Les policiers du commissariat du Héron arrive sur les lieux et arrête la jeune femme, qui se trouve actuellement sous mandat de dépôt à la prison civile de Gabode.

Il voulait que sa fille porte le nom de son frère

La semaine dernière, un couple se rend au commissariat de Hodan pour porter plainte contre un jeune homme, qui n’est autre que le frère du plaignant. En effet, le jeune homme sans papier aurait menacé de mort son frère et son épouse, pour non reconnaissance de la paternité de sa propre fille, âgée d’un an et sept mois. Le suspect réclame à corps et à cri, que son propre frère inscrive l’enfant sous son nom. Le mis en cause se rend au domicile de son frère muni d’un couteau et menace sa belle sœur et ses enfants.

Quelques heures plus tard, il est retrouvé dans un mabraze situé devant une boutique. Interrogé par les policiers du commissariat de Hodan, il reconnait les faits qui lui sont reprochés. Il se trouve actuellement derrière les verrous de la prison civile de Gabode.

L’agresseur était un cordonnier…

Il y a quelques semaines, une jeune femme à la silhouette élancée rentre chez elle tard dans la nuit. Elle prend le bus vers le centre ville pour se rendre à Hayableh. A la place Mahamoud Harbi,  un homme monte également dans le bus. Arrivée à destination, elle descend et emprunte une des nombreuses ruelles de son quartier. Elle ne rend pas compte que l’homme la suivait. Arrivée dans un coin sombre, il tente de l’agresser sexuellement. La jeune femme se débat et elle reçoit un coup sur l’arcade sourcilière qui lui causera 5 points de sutures. Deux jours plus tard, la jeune femme décide de se rendre à l’endroit où l’homme en question était monté dans le bus. Et à sa grande surprise, elle voit son bourreau vaqué à son métier : celui de cordonnier. Elle dépose plainte auprès du commissariat de Hodan. L’homme est arrêté mais lors de son audience, il nie les faits qui lui sont reprochés. Il est arrêté et est actuellement sous mandat de dépôt à la prison civile de Gabode.

Jalouse, elle tente de s’immoler

Une histoire peu banale circule ces derniers jours à la cité Hodan. Sous l’effet de la colère, une jeune femme,  aurait tenté de s’immoler par le feu dans sa propre maison. Mère de 6 enfants, celle-ci aurait appris que son conjoint se serait remarié avec une femme plus jeune. Quelques temps plus tard, le mari entreprend des travaux dans le domicile familial pour partager la maison en deux pour faire cohabiter ses deux épouses. Sous l’effet de la colère, la jeune femme se rend chez les voisins et leur demande de fuir les lieux, puisqu’elle s’apprête à s’immoler par le feu et la maison avec. Apeurés, les voisins viennent demander de l’aide aux policiers du commissariat de Hodan. Les parents de la jeune femme et ceux de son mari décident finalement devant le parquet de régler l’affaire à l’amiable.

N. Kadassiya